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Critique de blackbookspolar
Donovan est à l'honneur dans ce second tome de Campus Drivers et l'histoire va forcément, vous vous en doutez, tourner autour de son histoire d'amour naissante. Si j'ai apprécié le 1er tome, sans pour autant ressentir de papillons dans le ventre, je dois dire que ce second m'a davantage plu. J'ai beaucoup apprécié la remise en question des personnages et l'humour y tient une place plus importante puisque l'histoire est moins teintée d'éléments dramatiques. Même si une fois de plus, rien n'est vraiment surprenant et que tout est carrément prévisible, j'ai passé un bon moment, ça se lit bien et vite. de quoi se vider un peu la tête, sans aucune prise de tête.
J'ai retrouvé tous les clichés que j'imagine dans les romances et qui habituellement me rebutent. La différence qui m'a permise d'apprécier ma lecture est principalement l'humour. Je n'ai pas ressenti le côté Love-Love dégoulinant que je ne supporte malheureusement pas. Donovan est l'archétype du basketteur (papa est d'ailleurs son coach) sûr de lui qui a cumulé un nombre incalculable de conquêtes et dont les filles raffolent. Carrie a contrario, s'affirme davantage par son caractère bien affirmé, un peu solitaire et toujours la tête dans un livre (idéalement une romance). Les deux personnages sont voués à ne jamais s'aimer (on connait ça) et pourtant… TADAM ! L'avantage de ce genre de lecture, c'est que ça s'avale très vite. Les pages défilent, ça change les idées et c'est vraiment distrayant.
Les scènes de sexe sont plus nombreuses que dans le 1er, cela ne m'a pas dérangé dans la mesure où tout est resté assez fun et léger, sans jamais tomber dans le graveleux ou dans le « parler de sexe pour dire de parler de sexe ». La relation qu'entretiennent Donovan et Carrie s'y prête et donc cela ne m'a pas dérangée (mais ça ne m'a pas émoustillée pour autant hein).
En bref :
Je vais continuer la série, pour sûr ! Non pas parce la fin d'un livre nous pousse à lire l'autre mais parce que je passe un bon moment et que je ne compte pas m'en priver. J'apprécie de temps en temps, et ce depuis peu de temps, me plonger dans ce genre littéraire. Je vous le conseille même si vous craignez la romance car ici, c'est léger et surtout, c'est très drôle !
Lien : https://black-books.fr/2023/..
J'ai retrouvé tous les clichés que j'imagine dans les romances et qui habituellement me rebutent. La différence qui m'a permise d'apprécier ma lecture est principalement l'humour. Je n'ai pas ressenti le côté Love-Love dégoulinant que je ne supporte malheureusement pas. Donovan est l'archétype du basketteur (papa est d'ailleurs son coach) sûr de lui qui a cumulé un nombre incalculable de conquêtes et dont les filles raffolent. Carrie a contrario, s'affirme davantage par son caractère bien affirmé, un peu solitaire et toujours la tête dans un livre (idéalement une romance). Les deux personnages sont voués à ne jamais s'aimer (on connait ça) et pourtant… TADAM ! L'avantage de ce genre de lecture, c'est que ça s'avale très vite. Les pages défilent, ça change les idées et c'est vraiment distrayant.
Les scènes de sexe sont plus nombreuses que dans le 1er, cela ne m'a pas dérangé dans la mesure où tout est resté assez fun et léger, sans jamais tomber dans le graveleux ou dans le « parler de sexe pour dire de parler de sexe ». La relation qu'entretiennent Donovan et Carrie s'y prête et donc cela ne m'a pas dérangée (mais ça ne m'a pas émoustillée pour autant hein).
En bref :
Je vais continuer la série, pour sûr ! Non pas parce la fin d'un livre nous pousse à lire l'autre mais parce que je passe un bon moment et que je ne compte pas m'en priver. J'apprécie de temps en temps, et ce depuis peu de temps, me plonger dans ce genre littéraire. Je vous le conseille même si vous craignez la romance car ici, c'est léger et surtout, c'est très drôle !
Lien : https://black-books.fr/2023/..
