Mai, joli moi de mai, qui commence si bien en ce "Jardins".
Comment Quint peut-il dans un récit aussi court, concentrer autant de personnages héroïques et révéler autant d'humanité ?
Dans ces Jardins ce ne sont pas des nains qu'on croise mais des géants.
Écrit avec l'accent de Céline, cet
Effroyables jardins nous fait rencontrer des anges en enfer, sans manichéisme ni grandiloquence.
Un ouvrage digne d'être mis au Panthéon des lectures scolaires et en rappel aux adultes, pour entretenir la mémoire des heures sombres de notre histoire contemporaine éclairées par des anonymes.
D'
Effroyables jardins, ou il fait bon se sourcer et ressourcer !
Commenter  J’apprécie         271