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Critique de Marti94
C'est la première fois que je lis un polar de Michel Quint qui semble avoir plutôt bonne réputation dans ce domaine. Effectivement ce n'est pas mal mais sans excellence.
La première idée est de situer l'intrigue à Aix-en-Provence et dans ses environs sur 24 heures en été. Mais ce qui n'est pas banal, c'est le contexte : il vient d'y avoir un tremblement de terre et la ville dévastée change les rapports entre trafiquants, proxénètes, pilleurs et les flics à leur poursuite.
Le personnage principal nommé Paul-Jacques Sinibaldi, garagiste de son état, est le témoin de cette catastrophe et n'a qu'un souhait, celui d'aller à Pierrevert pour retrouver sa femme Valérie et ses enfants. Mais son chemin va être semé d'embûches. Vont croiser Ettore Muginello ancien joueur de foot converti dans le proxénétisme, une bande de jeunes, Max, Serge, Dédé, Simon, Rita et Pierrot, qui pensent pouvoir trouver la liberté en pillant une bijouterie, Lydie, femme de dentiste croisée dans les décombres etc.
Je sais bien que c'est un polar et qu'en général, il y a des morts mais dans "Mauvaise conscience" il n'y a que ça, ce qui limite le suspense car on devine ce qui va se passer.
Donc bien mais sans plus. Je referais quand même une tentative avec « Corps de ballet », un autre polar de Michel Quint en ma possession.
La première idée est de situer l'intrigue à Aix-en-Provence et dans ses environs sur 24 heures en été. Mais ce qui n'est pas banal, c'est le contexte : il vient d'y avoir un tremblement de terre et la ville dévastée change les rapports entre trafiquants, proxénètes, pilleurs et les flics à leur poursuite.
Le personnage principal nommé Paul-Jacques Sinibaldi, garagiste de son état, est le témoin de cette catastrophe et n'a qu'un souhait, celui d'aller à Pierrevert pour retrouver sa femme Valérie et ses enfants. Mais son chemin va être semé d'embûches. Vont croiser Ettore Muginello ancien joueur de foot converti dans le proxénétisme, une bande de jeunes, Max, Serge, Dédé, Simon, Rita et Pierrot, qui pensent pouvoir trouver la liberté en pillant une bijouterie, Lydie, femme de dentiste croisée dans les décombres etc.
Je sais bien que c'est un polar et qu'en général, il y a des morts mais dans "Mauvaise conscience" il n'y a que ça, ce qui limite le suspense car on devine ce qui va se passer.
Donc bien mais sans plus. Je referais quand même une tentative avec « Corps de ballet », un autre polar de Michel Quint en ma possession.
