Gros gros coup de coeur pour ces nouvelles de
Bernard Quiriny, découvertes au détour d'une étagère de la bibliothèque communale.
Je les ai lues comme j'aurais croqué les unes après les autres quelques friandises tirées d'un sachet qu'on m'aurait offert, en me demandant à chaque fois sur quoi j'allais tomber.
Allait-elle grincer sous la dent ("Sévère, mais juste" et le génial "Les choses ont la parole"), être très acide ("Histoire sans tête"), fondre doucement sur la langue (tel le médicament du "Remède miracle"), me colorer la bouche ("Bleuir d'amour") ou offrir des saveurs inconnues ("La tournée amazonienne") ?
Aucune de ces friandises ne m'a déçue et cela a été un réel plaisir de les déguster toutes. J'ai d'ailleurs le projet de retourner très rapidement chez mon marchand de bonbons, j'ai hâte de trouver un nouveau sachet rempli de merveilles !
NB : Attentation cependant à l'arrière-goût laissé par le vitriol, il peut être écoeurant si vous n'aimez pas trop en retrouver dans vos confiseries livresques.
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