La Terre va mal, notre modèle de civilisation qui repose sur les énergies fossiles s'essouffle. Notre besoin de confort s'est transformé en avidité, "toujours plus", insatiabilité.
Que faire ? Chacun peut prendre sa part tel le colibri qui préfère contribuer à éteindre l'incendie avec quelques gouttes dans son bec que d'attendre sans rien faire.
L'humain et la nature devraient être au centre de nos préoccupations et l'économie à leur service. L'économie doit réguler les liens et nécessités entre les hommes et non être au service d'un profit illimité et d'une croissance indéfinie.
L'ordre mondial cynique basé sur une consommation illimitée est une impasse, une catastrophe écologique.
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