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Critique de LesFleursDuMal615
Un pur chez d'oeuvre !
Aucun mot ne peut vraiment décrire ce livre, un concentré de follie malsaine avec des personnages obscurs.
Les propos et les scènes pourraient sembler choquants, et je le reconnais, ce n'est pas du tout adapté à un certain public, mais le tout reste incroyablement poétique.
Même si Delaney n'est en aucun cas parfaite et fait tout pour se discréditer de tous, on la voit surtout comme l'anti-héros typique, brisée, elle est ce que la vie a fait d'elle. On a toutes les raisons de la détester mais elle ne peut plaire, elle est touchante et inspirerait presque la pitié. On la voit toujours comme un personnage complexe elle ne se dévoile qu'à la fin, tout comme les autres personnages.
On présente Laney comme une ado torturée, brisée mais, grâce à son passé, on apprend qu'elle est sensible, d'une certaine timidité ou pudeur avec ses sentiments.
La plume noire et mystérieuse de Leah Raeder nous entraîne dans un jeu dangereux dont on ne connaît pas les règles.
On ne comprend pas vraiment ce qui se passe, et, au fur et à mesure, en progressant dans le livre et en reconstituant les fragments de l'histoire, alors on comprend tout, mais trop tard, la chute est déjà trop avancée et on sent que l'on va tomber de haut.
On se sent bête car le texte est truffé d'indices qu'on ne voit pas tout de suite. À la 2ème lecture, par contre, on ne peut pas passer à côté !
Je le recommande vivement mais toutefois, âmes sensibles s'abstenir !
Aucun mot ne peut vraiment décrire ce livre, un concentré de follie malsaine avec des personnages obscurs.
Les propos et les scènes pourraient sembler choquants, et je le reconnais, ce n'est pas du tout adapté à un certain public, mais le tout reste incroyablement poétique.
Même si Delaney n'est en aucun cas parfaite et fait tout pour se discréditer de tous, on la voit surtout comme l'anti-héros typique, brisée, elle est ce que la vie a fait d'elle. On a toutes les raisons de la détester mais elle ne peut plaire, elle est touchante et inspirerait presque la pitié. On la voit toujours comme un personnage complexe elle ne se dévoile qu'à la fin, tout comme les autres personnages.
On présente Laney comme une ado torturée, brisée mais, grâce à son passé, on apprend qu'elle est sensible, d'une certaine timidité ou pudeur avec ses sentiments.
La plume noire et mystérieuse de Leah Raeder nous entraîne dans un jeu dangereux dont on ne connaît pas les règles.
On ne comprend pas vraiment ce qui se passe, et, au fur et à mesure, en progressant dans le livre et en reconstituant les fragments de l'histoire, alors on comprend tout, mais trop tard, la chute est déjà trop avancée et on sent que l'on va tomber de haut.
On se sent bête car le texte est truffé d'indices qu'on ne voit pas tout de suite. À la 2ème lecture, par contre, on ne peut pas passer à côté !
Je le recommande vivement mais toutefois, âmes sensibles s'abstenir !
