J'avais adoré
Terre et Cendres, d'
Atiq Rahimi, j'avais été touchée par la poésie et la tristesse qui émanait de ce roman. J'abordais donc
La ballade du calame avec de grandes attentes, et je m'attendais à un récit très fort sur l'exil. Mais ce n'est pas ça, il s'agit surtout de poésie cette fois, et je suis passée totalement à côté. Incapable de mettre des mots sur cette épreuve de l'exil, l'auteur évoque la calligraphie de son enfance, puis ses callimorphies plus récentes (car cet auteur est également un artiste), et je dois avouer que cela n'a rien évoqué chez moi, d'où une certaine déception.
Commenter  J’apprécie         60