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Critique de tchouk-tchouk-nougat
Mai 68. La rue gronde, les étudiants occupent les universités. La folie et la violence prend Paris en otage.
Gilles, Didier, Sarah, Francoise et Jay sont cinq étudiants pris dans cette tourmente révolutionnaire.
J'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans cette bande dessinée. Les personnages ne sont pas vraiment sympathique et plutôt creux. Ils passent leur temps à errer dans les rues, à boire, à fumer, à se droguer et à faire l'amour de manière libre. Un vrai cliché des hippies et bobos. Les étudiants parisiens étaient-ils tous vraiment ainsi en ce temps là ?
Bizarrement on a très peu de moments qui se déroulent pendant les manifestations. On voit nos étudiants dans les instants de calme qui entrecoupent les violences et les dégradations. Il en ressort une atmosphère un peu étrange, détachée, loin des passions politiques que l'on pourrait imaginer.
J'ai trouvé le récit un peu haché et un peu ennuyant dans ces discours politico-philosophiques. Il est pourtant servi par un dessin réaliste à la sympathique colorisation en aquarelle.
Gilles, Didier, Sarah, Francoise et Jay sont cinq étudiants pris dans cette tourmente révolutionnaire.
J'ai eu beaucoup de mal à me plonger dans cette bande dessinée. Les personnages ne sont pas vraiment sympathique et plutôt creux. Ils passent leur temps à errer dans les rues, à boire, à fumer, à se droguer et à faire l'amour de manière libre. Un vrai cliché des hippies et bobos. Les étudiants parisiens étaient-ils tous vraiment ainsi en ce temps là ?
Bizarrement on a très peu de moments qui se déroulent pendant les manifestations. On voit nos étudiants dans les instants de calme qui entrecoupent les violences et les dégradations. Il en ressort une atmosphère un peu étrange, détachée, loin des passions politiques que l'on pourrait imaginer.
J'ai trouvé le récit un peu haché et un peu ennuyant dans ces discours politico-philosophiques. Il est pourtant servi par un dessin réaliste à la sympathique colorisation en aquarelle.
