La vie, c'était des sentiers interminables ; la mort d'un enfant, la haine qui lui succède, le désespoir, la douleur, infinie et incommensurable. C'était la famille, les enfants, les blessures et les injustices. C'était des couloirs qui n'en finissaient pas.
Et puis c'était un arbre, un oiseau et un souvenir de la beauté.
"J'espère que si vous allez de l'avant, c'est que vous avez trouvé un second souffle. Le monde peut être beau, madame Stanley, même si des gens comme moi le privent de ses trésors."