J'ai découvert
Charles Ferdinand Ramuz pendant le confinement suite à une initiative des services culturels de la ville de Vannes (56).
Je l'ai retrouvé quelques mois après, présent dans un roman "La soustraction des possibles", dans lequel un des personnages lisait ses livres et qui de mémoire avait une préférence pour "
Aline".
Il s'est donc retrouvé dans ma PAL !
Les descriptions y sont très belles avec une langue maîtrisée qui met en valeur les êtres, leurs sentiments, leur environnement.
Mais que de tristesse ! D'autant plus que l'on imagine rapidement une fin avec peu d'espoir.
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