Slum Kids, tome 1

Club N°54 : BD non sélectionnée
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De prime abord le dessin et le design de certains personnages font penser à celui de Stan silas dans Lozere apocalypse.

On suit un groupe d'orphelin dans un bidon ville et leurs (més)aventures.

Le dessin à première abord assez enfantin tranche avec le contenu assez trash et très violent.

Difficile de se faire une idée sur l'histoire après ce premier tome.

Sam
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Le découpage dynamique colle plutôt bien aux bastons qui représentent 80% de la BD, ne laissant pas grande place pour y développer personnages ou histoire.

Greg
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📚Lombric, Engvy et Bambi (sur)vivent tant bien que mal dans les quartiers sans saisons. Vivant de petits larcins tout en protégeant Lombric des brimades du clan adverse, le trio s'attaque à deux camés à qui ils volent le tribu d'un deal. Par inadvertance, les jeunes enfants viennent de déclencher une vendetta qui risque de briser à jamais leur trio.  

🖊Slum Kids de Petit Rapace est un récit violent, sombre, reflétant tout le désespoir de ce monde. La survie de ce trio va percuter de plein fouet la dure loi du quartier qui répond à ce simple dogme : "la violence n'amène que la violence". En se mettant derrière les paroles de Bambi, l'auteur ose remettre en question la violence même de son récit et de son personnage, sans pour autant trouver de véritables solutions. Les répercussions sont si sévères qu'aucun personnage n'est épargné. Graphiquement, le trait de Petit Rapace est solide, dynamique et assez stylisé pour nous emporter dans un délire horrifique aussi étonnant qu'effrayant. 

🧔 Chronique complète : 

Lien : https://www.mtebc.fr/slum-ki..

Slum Kids 2, le retour

On ne pensait pas retrouver les protagonistes de Slum Kids dans ce monde post-apo où la Terre ne semble plus n'être qu'une décharge à ciel ouvert.

Eingyi, Bambi et Lombric, les Microbes, vont avoir fort à faire pour échapper à deux autres bandes bien décidées à leur faire la peau… Bien sûr, Eingyi et Bambi ont du répondant, de la rage et de la hargne aussi… Mais ils auront fort à faire pour surmonter la tragédie qui s'annonce et la monstruosité qui va en sortir…

Le fascinant dessin tout en rondeur de Petit Rapace contraste avec la noirceur et la violence du propos, renforçant par la même la dramaturgie de l'histoire où la violence et la folie des hommes règnent en maître… La dernière case laisse quant à elle augurer une suite des plus inquiétantes…
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