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Critique de jpguery
C'est dans un appartement-taudis au dixième étage d'une grande cité de la proche banlieue parisienne qu'on découvre le corps sans vie d'une femme, asphyxiée par les fumées d'un début d'incendie. Des traces de coups et un rideau dont la combustion s'arrête inexplicablement empêchent le classement en accident.
Policiers du commissariat local, Jasmine, la narratrice, et son chef Tom, s'intéressent à fille de la victime, Astrid, qui a grandi auprès d'une mère alcoolique et violente. Dotée d'une personnalité complexe, l'adolescente détient certainement les clés de ce drame ordinaire de la misère, mais pour Jasmine dont le papa est mourant, la gestion des évènements est compliquée.
L'enquête criminelle s'efface au profit d'une dénonciation argumentée de la gestion catastrophique des banlieues, terreau de toutes les révoltes. Mais Claire Raphaël impressionne surtout par l'exceptionnelle et sincère empathie qu'elle éprouve pour ses personnages et pour tous ceux que la société a brisés et laissés au bord de la route.
Policiers du commissariat local, Jasmine, la narratrice, et son chef Tom, s'intéressent à fille de la victime, Astrid, qui a grandi auprès d'une mère alcoolique et violente. Dotée d'une personnalité complexe, l'adolescente détient certainement les clés de ce drame ordinaire de la misère, mais pour Jasmine dont le papa est mourant, la gestion des évènements est compliquée.
L'enquête criminelle s'efface au profit d'une dénonciation argumentée de la gestion catastrophique des banlieues, terreau de toutes les révoltes. Mais Claire Raphaël impressionne surtout par l'exceptionnelle et sincère empathie qu'elle éprouve pour ses personnages et pour tous ceux que la société a brisés et laissés au bord de la route.
