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Critique de Gaphanie
Un ouvrage en trois parties : la première sur la vie de Tolkien, tant privée que professionnelle, de sa naissance à sa mort ; la seconde sur son oeuvre, sa genèse, les péripéties des éditions ; et la troisième sur son influence encore à l'oeuvre aujourd'hui dans différents medias, et notamment la "high fantasy".
Pas d'analyse, ni littéraire, ni autre, dans ce documentaire, essentiellement des faits bruts, avec une place belle aux photos et autres documents visuels.
Pour celles et ceux qui ont aimé le Seigneur de Anneaux et veulent en savoir plus sur l'auteur sans trop se prendre la tête.
J'ai pour ma part été stupéfaite d'apprendre qu'à la base, Bilbo se suffisait à lui-même, et que Tolkien n'avait absolument pas prévu d'en faire une suite. Et que l'oeuvre de sa vie, celle à laquelle il a consacré le plus de temps et d'énergie n'est pas non plus le Seigneur des Anneaux, mais le Silmarillion.
Par contre, je savais déjà qu'il était catholique car j'avais assisté à des "débats" assez véhéments sur un forum au sujet du Seigneur. Ce qu'en dit Tolkien lui-même, c'est que sa religion a forcément dû influencer son oeuvre, mais qu'en aucun cas c'est une volonté consciente, et qu'il ne faut pas y lire une apologie du catholicisme, en gros, si j'ai bien compris. J'en savais aussi déjà pas mal sur son amitié avec C.S. Lewis (Le Monde de Narnia), mais j'ignorais que l'admiration que vouait Lewis à l'oeuvre de Tolkien n'était pas réciproque du tout.
Je ressors de cette lecture avec la ferme intention de lire le Silmarillion. Une bonne résolution que je ne devrais pas avoir trop de mal à suivre...
Pas d'analyse, ni littéraire, ni autre, dans ce documentaire, essentiellement des faits bruts, avec une place belle aux photos et autres documents visuels.
Pour celles et ceux qui ont aimé le Seigneur de Anneaux et veulent en savoir plus sur l'auteur sans trop se prendre la tête.
J'ai pour ma part été stupéfaite d'apprendre qu'à la base, Bilbo se suffisait à lui-même, et que Tolkien n'avait absolument pas prévu d'en faire une suite. Et que l'oeuvre de sa vie, celle à laquelle il a consacré le plus de temps et d'énergie n'est pas non plus le Seigneur des Anneaux, mais le Silmarillion.
Par contre, je savais déjà qu'il était catholique car j'avais assisté à des "débats" assez véhéments sur un forum au sujet du Seigneur. Ce qu'en dit Tolkien lui-même, c'est que sa religion a forcément dû influencer son oeuvre, mais qu'en aucun cas c'est une volonté consciente, et qu'il ne faut pas y lire une apologie du catholicisme, en gros, si j'ai bien compris. J'en savais aussi déjà pas mal sur son amitié avec C.S. Lewis (Le Monde de Narnia), mais j'ignorais que l'admiration que vouait Lewis à l'oeuvre de Tolkien n'était pas réciproque du tout.
Je ressors de cette lecture avec la ferme intention de lire le Silmarillion. Une bonne résolution que je ne devrais pas avoir trop de mal à suivre...
