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Critique de ladesiderienne


Par le passé, j'ai pu lire quelques titres de Ruth Rendell, sans en garder grand souvenir. En ce qui concerne "La 13e marche", pour tout dire, c'est le magnifique chat noir aux yeux verts, figurant sur la première de couverture, qui m'a fait de l'oeil dans une boîte à livres. Malheureusement, l'attraction a été aussi intense que brève...

Et oui, je n'ai absolument pas adhéré à ce polar typiquement britannique dont l'intrigue traîne en longueur. L'auteure s'attache à décrire tout particulièrement la psychologie de ses personnages. Et quels personnages ! D'un côté, nous avons un homme, incarnation du looser suprême, totalement obsessionnel, fasciné par une jeune top model qu'il harcèle, mais aussi par les meurtres d'un serial killer qui a jadis vécu dans le quartier. de l'autre, une femme très âgée, vieille fille acariâtre, empêtrée dans ses rêves d'amour de jeunesse et accessoirement propriétaire du manoir délabré où ils vivent tous les deux, chacun occupant un étage.
Au fil des pages, devant l'amoncellement de détails, de redondances (nous avons affaire à deux mono-maniaques), l'ennui m'a gagné. Pourtant, je suis allée au bout de cette lecture à laquelle j'accorde un 7/20, espérant un revirement de situation qui, hélas, n'est pas venu. le beau chat (Otto) n'a qu'un rôle de figurant...
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