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Critique de MissPuche
La démocratie est-elle en train de mourir ?
Deux philosophes vont tenter de répondre à cette question très intéressante dans un contexte actuel où l'on constate une réelle défiance des citoyens à l'égard des représentants réputés incapables d'exercer la tâche qui leur est confiée et où les citoyens considèrent les institutions juridico-politiques impuissantes à répondre à la réalité des problèmes…
Il est difficile de répondre à cette question catégoriquement.
Ce livre a l'avantage de permettre la confrontation d'idées et d'opinions entre Myriam Revault d'Allones et Chantal Delsol, deux philosophes renommées.
La première est de mouvance politique progressiste, chercheur associée au CEVIPOF (centre de recherches politiques de sciences-po) et professeure émérite des universités à l'école pratique des hautes études (EPHE) et la seconde est de mouvance politique libérale-conservatrice, éditorialiste à valeurs actuelles, professeure émérite de philosophie politique et membre de l'académie des sciences morales et politiques.
Si le dialogue entre les deux philosophes est respectueux malgré leurs désaccords, je trouve que tout cela manque cruellement de clarté et ne permet pas au commun des mortels d'en comprendre clairement les notions débattues et les enjeux.
Deux philosophes vont tenter de répondre à cette question très intéressante dans un contexte actuel où l'on constate une réelle défiance des citoyens à l'égard des représentants réputés incapables d'exercer la tâche qui leur est confiée et où les citoyens considèrent les institutions juridico-politiques impuissantes à répondre à la réalité des problèmes…
Il est difficile de répondre à cette question catégoriquement.
Ce livre a l'avantage de permettre la confrontation d'idées et d'opinions entre Myriam Revault d'Allones et Chantal Delsol, deux philosophes renommées.
La première est de mouvance politique progressiste, chercheur associée au CEVIPOF (centre de recherches politiques de sciences-po) et professeure émérite des universités à l'école pratique des hautes études (EPHE) et la seconde est de mouvance politique libérale-conservatrice, éditorialiste à valeurs actuelles, professeure émérite de philosophie politique et membre de l'académie des sciences morales et politiques.
Si le dialogue entre les deux philosophes est respectueux malgré leurs désaccords, je trouve que tout cela manque cruellement de clarté et ne permet pas au commun des mortels d'en comprendre clairement les notions débattues et les enjeux.
