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Critique de patlam
Sur un thème plutôt intéressant qui a de plus l'avantage d'autoriser d'innombrables déclinaisons, Morgan Rice bâtit une dystopie aussi mièvre qu'invraisemblable et ridicule. Si l'action ne souffre d'aucun temps mort, elle est aussi omniprésente que les inepties. de l'interminable poursuite irréaliste à la traversée d'une ville infestée de mutants irradiés en passant par d'épiques combats dans l'arène, rien dans ce récit n'est credible. Brook la jeune héroïne a la capacité de conduire n'importe quel véhicule, se servir de n'importe quel type d'arme, se battre avec des tueurs chevronnés quelle terrasse invariablement. Elle est à même de soigner toutes sortes de lesions , de déjouer les pièges mis en place par des gangs d'esclavagistes implacables et au final d'être toujours debout quelque soient ses blessures et de triompher des pires situations. le style ramène à la bibliothèque rose, peu recherché, très répétitif, au suspense totalement absent et sans aucune imagination. Si bon nombre de livres labellisés Young Adult dépassent largement ce cadre, on croirait celui-ci écrit par un ado qui fait ses premiers pas dans la littérature. À réserver peut-être au moins de 12 ans.
