Une noble bataille perdue vaut-elle mieux qu'un combat d'égouts dont on peut réchapper ?
Je me doutais que la médecine n'est pas une science, que tout s'y discute, les protocoles, les traitements, les doses. Que rien ne serait carré, sans hésitation. Que tout serait plus ou moins aléatoire, du genre "on fait ça et on verra" "on tente ça et on verra"... et passeraient les jours à attendre voir... (p.13)
Ce regard qui transforme une maladie en mal, puis en maléfice, enfin en malédiction.
Ils me savaient mortel, ils me découvrent malade. C'est tout autre chose.