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Critique de Latulu
La Rivière du Temps nous invite à un voyage dans le temps sur fond de romance et confrérie secrète.
Nick est un aristocrate anglais du 19è qui est sur le point de mourir sur le champ de bataille lorsqu'il se retrouve soudain propulsé à notre époque, dans la demeure d'une guilde secrète. Entouré de compagnons venus également de différentes époques, il va apprendre à s'acclimater dans notre société. Bientôt, la Guilde lui propose de retourner en 1815 pour mettre la main sur un médaillon qui permet à son détenteur de manipuler le temps. Nick accepte d'autant plus qu'il n'a jamais oublié la fille de son ancien voisin et à laquelle il n'avait jamais osé parler.
Bon le ton est donné. En lisant la quatrième de couverture, je m'attendais à une histoire pleine d'actions et de rebondissements avec la promesse de cette société secrète et d'un homme avide de posséder le pouvoir de contrôler l'espace temps. le récit s'est révélé décevant. L'histoire est lente à se mettre en place et je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.
Ceux-ci sont bien décrits et les protagonistes secondaires bénéficient eux-aussi de nuances intéressantes mais le récit connaît de telles longueurs que cela n'a pas suffi à m'intéresser à l'histoire. Pourant, l'auteure maîtrise le sujet sur l'Angleterre du 19è. Elle prend le temps de détailler les costumes et la morale de cette société. le style est assez immersif pour qui aime les longues descriptions.
Une lecture sympathique mais il a manqué un peu plus de rythme pour la rendre réellement prenante.
Nick est un aristocrate anglais du 19è qui est sur le point de mourir sur le champ de bataille lorsqu'il se retrouve soudain propulsé à notre époque, dans la demeure d'une guilde secrète. Entouré de compagnons venus également de différentes époques, il va apprendre à s'acclimater dans notre société. Bientôt, la Guilde lui propose de retourner en 1815 pour mettre la main sur un médaillon qui permet à son détenteur de manipuler le temps. Nick accepte d'autant plus qu'il n'a jamais oublié la fille de son ancien voisin et à laquelle il n'avait jamais osé parler.
Bon le ton est donné. En lisant la quatrième de couverture, je m'attendais à une histoire pleine d'actions et de rebondissements avec la promesse de cette société secrète et d'un homme avide de posséder le pouvoir de contrôler l'espace temps. le récit s'est révélé décevant. L'histoire est lente à se mettre en place et je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.
Ceux-ci sont bien décrits et les protagonistes secondaires bénéficient eux-aussi de nuances intéressantes mais le récit connaît de telles longueurs que cela n'a pas suffi à m'intéresser à l'histoire. Pourant, l'auteure maîtrise le sujet sur l'Angleterre du 19è. Elle prend le temps de détailler les costumes et la morale de cette société. le style est assez immersif pour qui aime les longues descriptions.
Une lecture sympathique mais il a manqué un peu plus de rythme pour la rendre réellement prenante.
