Citations sur Héros de l'Olympe, tome 1 : Le héros perdu (61)
Même les caïds les plus endurcis vous toléraient et vous gardaient dans votre entourage parce qu'ils vous trouvaient drôle. En plus, l’humour était une bonne façon de cacher la douleur. Et puis, si ça ne marchais pas, il y avait toujours le plan B. Fuir. Encore et toujours.
Elle cherche un de nos pensionnaires qui a disparu il y a trois jours expliqua Butch
Qui ça ?
Son copain. Un type qui s'appelle Percy Jackson
- Patience, ma douce, dit la déesse. Ce que je veux te faire comprendre , c’est que l’amour est le moteur le plus puissant qui soit au monde. Il incite les mortels à la grandeur. C’est par amour qu’ils commentent leurs actions les plus nobles et les plus courageuses.
Aphrodite, c'est la quête de l'amour et de la beauté. Il s'agit d'être aimant, de répandre la beauté
-Un type qui s’appelle Percy Jackson
-That's the symbol of Vulcan, isn't it? [...]
-Vulcan? Leo demanded. I don't even like Star Trek. [...]
I'm not a Vulcan!
-Come on Mr. Spock, I'll explain everything.
- Qui suis-je ? demanda-t-il à la louve. Dis-moi ça, au moins.
les loups n'ont pas un sens de l'humour très prononcé, mais il vit que la question amusaot Lupa , comme si Jason était un jeune louveteau qui faisait ses griffes et s'entraînait à devenir un mâle dominant.
" Tu es notre Grâce du ciel, bien sûr ."( La louve retroussa les babines comme si elle venait de faire une plaisanterie particulièrement maligne.) "Tu n'as pas droit à l'échec, fils de Jupiter.
Jason lui raconta l’histoire en mettant le plus gros sur le compte de la chance.
L’entraîneur renifla.
– Il est trop modeste, le petit. Si tu l’avais vu ! Taïaut, taïaut, un coup d’épée ! Et bang, je balance la foudre !
– M’sieur Hedge, vous n’avez rien vu, objecta Jason. Vous étiez dehors en train de manger la pelouse.
Mais le satyre était parti sur sa lancée.
– Et puis je suis arrivé avec mon gourdin et on a pris le contrôle des lieux. Après je lui ai dit « Petit, je suis fier de toi ! Si tu pouvais juste travailler ta force au niveau du torse… »
– M’sieur, coupa Jason.
– Ouais ?
– Fermez-la, s’il vous plaît.
– Pas de problème.
– Vulcain ? fit Léo. Qu’est-ce que vous racontez ? J’aime pas Star Trek, de toute façon.
– Vulcain est le nom romain d’Héphaïstos, dit Annabeth, le dieu du Feu et des Forges.
Le marteau enflammé s’éteignit, mais Léo continua d’agiter la main comme s’il avait peur que le symbole le suive.
– Le dieu de quoi ? Qui ça ?
Annabeth se tourna vers le type à l’arc.
– Will, tu pourrais t’occuper de Léo ? Fais-lui visiter la colonie et présente-le à ses compagnons du bungalow neuf.
– Pas de problème, Annabeth.
– C’est quoi le bungalow neuf ? demanda Léo. Je suis pas un vulcain !
– Viens, Spock, je vais tout t’expliquer.
– Hum…, fît Clovis.
– Quoi ? Ça signifie quelque chose ? demanda Jason.
– Hum…, répéta Clovis, et Jason se rendit compte que cette fois-ci il ronflait.
– Clovis ! ! ! hurla-t-il.
– Quoi, qu’est-ce qu’il y a ? (Il battit des paupières.) On parlait d’oreillers, c’est ça ? Ah non, des dieux. Je me souviens. Grecs et romains. Bien sûr, ça pourrait être important.