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Critique de Isilayah
Toutes les bonnes choses ont une fin et c'est ici qu'on arrive au terme du voyage incroyable et passionnant de nos jeunes héros, Carter et Sadie.
Un troisième tome aussi incroyable que les premiers, qui nous met directement dans le feu de l'action sous l'imminente attaque d'Apophis et la fin du monde en approche. Pour moi, impossible de me détacher de l'histoire tout le long, avec l'envie de savoir où tout cela allait les mener. Sans avoir de répit, ou du moins celui-ci de courte durée, on avance avec nos protagonistes sans se lasser de l'histoire, avec tous les événements arrivant de part et d'autre et voulant mettre des bâtons dans les roues à nos jeunes héros. Jusqu'au dernier moment du récit et jusque dans ses dernières pages, on se demande si nos héros vont vraiment réussir l'impossible ou s'ils vont se laisser submerger par le serpent et le chaos. Même lorsqu'on arrive à la fin, on se demande si ce calme et cette paix ne sont pas juste temporaires pour nos jeunes amis et si leur vie « normale » ne sera pas de nouveau bouleversée par une nouvelle entité plus dangereuse que la précédente.
Comme d'habitude, bien évidemment, j'ai aimé le style d'écriture de notre magicien préféré, Rick Riordan, qui maîtrise la mythologie comme personne d'autre et dont les mots sont comme les hiéroglyphes magiques qu'il décrit lui-même dans son oeuvre. Il est tel notre chef lecteur qui nous enseigne par la même occasion le côté historique, comme les personnages importants de l'Égypte antique. Moi qui suis férue de mythologie égyptienne, j'étais comme Hâpy dans le Nil.
En tout cas, pour finir, j'ai adoré les Chroniques de Kane et cette saga reste une belle trilogie traitant de la mythologie égyptienne.
Un troisième tome aussi incroyable que les premiers, qui nous met directement dans le feu de l'action sous l'imminente attaque d'Apophis et la fin du monde en approche. Pour moi, impossible de me détacher de l'histoire tout le long, avec l'envie de savoir où tout cela allait les mener. Sans avoir de répit, ou du moins celui-ci de courte durée, on avance avec nos protagonistes sans se lasser de l'histoire, avec tous les événements arrivant de part et d'autre et voulant mettre des bâtons dans les roues à nos jeunes héros. Jusqu'au dernier moment du récit et jusque dans ses dernières pages, on se demande si nos héros vont vraiment réussir l'impossible ou s'ils vont se laisser submerger par le serpent et le chaos. Même lorsqu'on arrive à la fin, on se demande si ce calme et cette paix ne sont pas juste temporaires pour nos jeunes amis et si leur vie « normale » ne sera pas de nouveau bouleversée par une nouvelle entité plus dangereuse que la précédente.
Comme d'habitude, bien évidemment, j'ai aimé le style d'écriture de notre magicien préféré, Rick Riordan, qui maîtrise la mythologie comme personne d'autre et dont les mots sont comme les hiéroglyphes magiques qu'il décrit lui-même dans son oeuvre. Il est tel notre chef lecteur qui nous enseigne par la même occasion le côté historique, comme les personnages importants de l'Égypte antique. Moi qui suis férue de mythologie égyptienne, j'étais comme Hâpy dans le Nil.
En tout cas, pour finir, j'ai adoré les Chroniques de Kane et cette saga reste une belle trilogie traitant de la mythologie égyptienne.
