AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de CVolland


David roberts s'est basé sur divers ouvrages abordant la question de la première ascension de la de l'Annapurna en 1950. Principalement : Annapurna premier 8000 de Herzog, le récit de Louis Lachenal non censuré, et conquérant de l'inutile de Lionel Terray. EN plus des livres, il s'entretiendra avec divers acteurs de l'époque, alpinistes et proches de l'équipe.

Il constate et analyse les différences nombreuses entre les récits et tente d'en tirer la "vérité". Se pose alors la question de savoir si un récit d'aventure, de voyage, se doit de rester neutre et de ne pas enjoliver la vérité. Eternel débat qui ne sera jamais clos. C'est d'ailleurs, si cela vous intéresse, la question que se posait Sylvain Tesson dans son livre l'axe du loup.

Mais l'objet principale du livre est de déboulonner une idole : celle d'Herzog et David Roberts le fait bien, à la suite de nombreux articles de journaux, et même d'un livre écrit par ça fille, mais après le livre de Roberts.
On le sait donc maintenant, Herzog n'était pas une personne particulièrement sympathique, pour ne pas dire plus...

Au fil du livre, les polémiques se suivent et se ressemblent que se soit entre les membres de l'équipes ou les journalistes spécialisés montagnes et cela finis par lasser ferme. Au final le milieux montagnard n'en ressort pas grandit. On comprend que s'élever sur les plus hautes cimes n'est pas forcément s'élever humainement.
Commenter  J’apprécie          00







{* *}