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Critique de Melwasul07


Cet été j'ai continué mon petit marathon policier / suspense avec Nora Roberts et ce « Le soleil ne se couche jamais ».

La jeune Alice Bodine quitte les siens pour faire sa vie puis disparaît sans jamais laisser de traces. Trente ans plus tard, sa nièce Bodine est à la tête d'une partie de l'empire familial : l'hôtel de luxe attenant à l'énorme ranch quand un cadavre est retrouvé sur les terres familiales, puis un deuxième. le premier suspect est un ami de la famille revenu dans le coin et nouvel employé (et ami et plus si affinité de Bodine). Pour elle c'est inconcevable que ce soit lui le coupable (et le shérif est bien d'accord avec elle). Elle va bien malgré elle commencer à mener l'enquête, encore plus quand sa tante est retrouvée dans un état inqualifiable, ayant pratiquement perdu la mémoire.

J'ai adore ma lecture, tournant les pages a une vitesse folle, incapable de lâcher mon livre. Un vrai bon Nora Roberts comme je les adore. Encore une fois nous connaissons des éléments que nos héros ignorent mais pas vraiment le coupable. Ce n'est pas vous gâcher la lecture que de vous dire que nous savons dès le premier chapitre qu'Alice a été kidnappée et nous allons suivre pendant près de trente ans le calvaire qu'elle va vivre. Des chapitres qui font froid dans le dos, qui montrent l'horreur qu'a vécu Alice sans que ce soit voyeur.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Bodine, jeune femme forte, pourvue d'une grande capacité d'adaptation, qui sait ce qu'elle veut et n'hésite pas à demander de l'aide alors qu'elle doit faire sa place dans un milieu d'hommes. le cadre du ranch, de ces grandes étendues, de ces balades à cheval n'a fait qu'accentuer mon plaisir de lecture.

Encore une fois avec Nora Roberts, rien à redire sur l'enquête et les événements, c'était parfait. J'aime le fait qu'elle joue avec nos nerfs et la psychologie des méchants. le méchant n'est pas toujours le grand méchant qu'on imagine. Parfois, sans être excusé ou excusable, il y a des mécanismes qui font qu'il en est arrivé là où il en est. Il faut autant le punir que l'aider.
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