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Critique de Ptinut
Quel livre encore! Je retrouve avec bonheur le groupe de Marsac et cette force, cette humanité dans chaque personnage. C'est encore une fois sombre et magnifique.
Un homme, Paul Resca, est retrouvé éviscéré dans le square du vert-galant, tout près du 36, quelques jours avant Noël. Alex, SDF qui semble "vivre" ici, fait vite figure de coupable idéal.
Alors pourquoi une espèce de lien semble se créer entre Marsac et cet homme énigmatique? Pourquoi Alex ment sur sa vie, se ferme lorsque Marsac fait tout pour le disculper? Protège-t-il quelqu'un?
Bien vite, alors que les morts s'enchainent sur le même mode opératoire, c'est l'idée de vengeance qui s'impose.
Pourquoi la femme de Paul Resca se mure dans le silence? Quels secrets cache cette famille? Quel lien y a-t-il entre la famille Resca et Alex?
Au-delà de la fureur, c'est le poids du silence, du non-dit qui étouffe, qui bouffe, l'impossibilité du pardon, l'indicible, l'abject. Tous ces personnages vont être poussés dans leurs retranchements, les flics comme les autres.
Où se trouve la frontière du bien et du mal quand il s'agit de se faire justice? Quand des ordures passent à travers les mailles du filet en toute impunité?
Alex se tait mais la fureur est toujours là. Il vit avec. Marsac va chercher à apprivoiser cette fureur et ce silence.
Encore une fois l'auteur nous propose un roman d'une force incroyable, des personnages sombres, blessés mais avec une forme de dignité magnifique, de celle qui permet de tenir debout, de survivre.
Le personnage d'Alex est tellement juste, tellement humain dans sa détresse, dans sa solitude. Seul contre tous
Marsac gagne en profondeur mais il apparait usé par tout ces "ides" qu'il côtoie à longueurs de temps. L'histoire d'Alex le touche. Et s'il était temps de mener ce combat qui le hante depuis si longtemps?
Un immense bravo @elsarochperso pour proposer encore une fois un roman si noir et si beau, des personnages si humains, sans fioriture, sans artifices, de nous montrer des SDFs sans clichés, dans tout ce que le quotidien a d'hostile pour eux.
Un homme, Paul Resca, est retrouvé éviscéré dans le square du vert-galant, tout près du 36, quelques jours avant Noël. Alex, SDF qui semble "vivre" ici, fait vite figure de coupable idéal.
Alors pourquoi une espèce de lien semble se créer entre Marsac et cet homme énigmatique? Pourquoi Alex ment sur sa vie, se ferme lorsque Marsac fait tout pour le disculper? Protège-t-il quelqu'un?
Bien vite, alors que les morts s'enchainent sur le même mode opératoire, c'est l'idée de vengeance qui s'impose.
Pourquoi la femme de Paul Resca se mure dans le silence? Quels secrets cache cette famille? Quel lien y a-t-il entre la famille Resca et Alex?
Au-delà de la fureur, c'est le poids du silence, du non-dit qui étouffe, qui bouffe, l'impossibilité du pardon, l'indicible, l'abject. Tous ces personnages vont être poussés dans leurs retranchements, les flics comme les autres.
Où se trouve la frontière du bien et du mal quand il s'agit de se faire justice? Quand des ordures passent à travers les mailles du filet en toute impunité?
Alex se tait mais la fureur est toujours là. Il vit avec. Marsac va chercher à apprivoiser cette fureur et ce silence.
Encore une fois l'auteur nous propose un roman d'une force incroyable, des personnages sombres, blessés mais avec une forme de dignité magnifique, de celle qui permet de tenir debout, de survivre.
Le personnage d'Alex est tellement juste, tellement humain dans sa détresse, dans sa solitude. Seul contre tous
Marsac gagne en profondeur mais il apparait usé par tout ces "ides" qu'il côtoie à longueurs de temps. L'histoire d'Alex le touche. Et s'il était temps de mener ce combat qui le hante depuis si longtemps?
Un immense bravo @elsarochperso pour proposer encore une fois un roman si noir et si beau, des personnages si humains, sans fioriture, sans artifices, de nous montrer des SDFs sans clichés, dans tout ce que le quotidien a d'hostile pour eux.
