Dans la course à pied, il n'y a pas d'équipes ni d'adversaires. Pas d'horaire ni de matériel obligatoire. Pas de limites non plus.
J'ai surtout confirmé que l'entraînement transforme le corps en profondeur. Parfois ça grince, d'autres fois ça coince.
Mais c'est en naviguant à la frontière entre la douleur et la blessure que l'on progresse, année après année. Pour finalement accomplir des exploits personnels qui semblaient réservés à des athlètes que l'on prenait pour des machines.