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Critique de SaleGargouille
Benoit, étudiant en cinéma de 19 ans délaisse la campagne et son ex pour la ville. Ce dernier ne perd pas de temps et se dégotte rapidement une piaule dans le garage d'une artiste d'origine malaysienne qui devient rapidement sa petite amie.
Puis, vient AlphaLab.
Benoit accepte si facilement son nouvel instinct de tueur qu'il en devient tout bonnement antipathique. Il est également dommage de ne trouver aucun rapport avec sa passion pour le cinéma, qui ne motive aucunement ses actions (contrairement aux patients de la collection). le cinéma s'arrête ici à quelques références lourdaudes par-ci, par-là, que n'importe quel ado pas spécialement intéressé par le médium capterait. Ça fait un peu léger.
Non, Benoit, lui, il vit à travers sa nouvelle petite-amie. Une dépendance qui le mènera à une petite virée en Malaisie (assez peu dépaysante) où il se prendra rapidement pour un… samouraï. Ahurissant.
Puis, vient AlphaLab.
Benoit accepte si facilement son nouvel instinct de tueur qu'il en devient tout bonnement antipathique. Il est également dommage de ne trouver aucun rapport avec sa passion pour le cinéma, qui ne motive aucunement ses actions (contrairement aux patients de la collection). le cinéma s'arrête ici à quelques références lourdaudes par-ci, par-là, que n'importe quel ado pas spécialement intéressé par le médium capterait. Ça fait un peu léger.
Non, Benoit, lui, il vit à travers sa nouvelle petite-amie. Une dépendance qui le mènera à une petite virée en Malaisie (assez peu dépaysante) où il se prendra rapidement pour un… samouraï. Ahurissant.
