D'Olivier Rolin, j'avais lu avec plaisir "
Baïkal - Amour" (un improbable road-trip au lac Baïkal, loin des clichés et à l'opposé du tourisme) et "méroé".
Cette fois je ne suis pas entrée dans son univers.
Trop de digressions, uniquement des digressions, il l'écrit lui-même en précisant très tôt qu'il va perdre son lecteur !
Grand voyageur, il voyage aussi dans sa mémoire avec des associations d'idées qui lui sont très personnelles.
Certes de belles pages sur des pays, des rencontres ou des lectures mettent en valeur son style poétique, mais l'accumulation m'a perdue.
Je garderai le souvenir d'un esprit brillant si ce n'était quelques jugements péremptoires qui m'ont surprise, pour ne pas dire agacée, par exemple "
Le Clézio, un prix Nobel pour boy-scouts" ...
Dans la famille Rolin, je préfère Jean, dont j'attends le récent " Pont de Bezons"...
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