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Critique de Davalian
Après un cinquième album légèrement moins bon que les précédents, Don Rosa débute cette intégrale en s'excusant de présenter ici beaucoup de suites tout en précisant que parfois les suites sont meilleures que les histoires originales.
C'est ici notamment vrai pour l'histoire du chevalier noir qui nous permet de découvrir un avatar du célèbre Arsène Lupin et celle relative à l'Eldorado. Plusieurs autres histoires méritent le détour : l'explication du pourquoi de l'inscription des neveux de Donald chez les Castor Junior, la journée d'une pièce bien particulière, celle qui nous permet de découvrir une journée ordinaire de Picsou (devant défendre son coffre… contre des ennemis particulièrement… originaux !).
Il y a également ici quelques pépites, notamment la toute première histoire, qui sur, fond de voyage spatial, laisse à la famille Duck le soin de devenir… des envahisseurs interplanétaires ! le secret du hollandais est un incontournable, un hommage à Blueberry. La famille devra également lutter contre des dinosaures… et faire un clin d'oeil à Arthur Conan Doyle et d'autres à King Kong !
Seuls deux histoires paraissent peut-être un peu moins immersives (mais c'est un point de vue qui se discute). La quête du Kelevala et celle qui explique que Gontran n'est finalement pas si chanceux. Mais fort heureusement le programme est suffisamment varié et l'ennui ne point pas le bout de son nez.
Cet avant-dernier album (et oui, déjà !) est une nouvelle fois une réussite. A lire et à relire (ne serait-ce que pour tenter de découvrir les nombreux petits détails cachés). Vivement la suite !
C'est ici notamment vrai pour l'histoire du chevalier noir qui nous permet de découvrir un avatar du célèbre Arsène Lupin et celle relative à l'Eldorado. Plusieurs autres histoires méritent le détour : l'explication du pourquoi de l'inscription des neveux de Donald chez les Castor Junior, la journée d'une pièce bien particulière, celle qui nous permet de découvrir une journée ordinaire de Picsou (devant défendre son coffre… contre des ennemis particulièrement… originaux !).
Il y a également ici quelques pépites, notamment la toute première histoire, qui sur, fond de voyage spatial, laisse à la famille Duck le soin de devenir… des envahisseurs interplanétaires ! le secret du hollandais est un incontournable, un hommage à Blueberry. La famille devra également lutter contre des dinosaures… et faire un clin d'oeil à Arthur Conan Doyle et d'autres à King Kong !
Seuls deux histoires paraissent peut-être un peu moins immersives (mais c'est un point de vue qui se discute). La quête du Kelevala et celle qui explique que Gontran n'est finalement pas si chanceux. Mais fort heureusement le programme est suffisamment varié et l'ennui ne point pas le bout de son nez.
Cet avant-dernier album (et oui, déjà !) est une nouvelle fois une réussite. A lire et à relire (ne serait-ce que pour tenter de découvrir les nombreux petits détails cachés). Vivement la suite !
