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Critique de Aurorum
EDIT :
Je profite de mon retour sur Babelio pour relire certaines de mes critiques et je dois dire que mon avis sur Eleanor & Park de Rainbow Rowell a beaucoup changé.
Peut-être avec des yeux plus matures, je me rends compte aujourd'hui à quel point ce livre est raciste et l'autrice n'a aucune idée de ce qu'elle écrit.
En Corée le pays d'origine de la mère du héro, Park est un nom de famille assez répandu, hors ici c'est le prénom du personnage principal (alors que son frère s'appelle Josh ?), première erreur et ce n'est pas la dernière ... Park, donc, déteste sa différence, son physique métisse coréen-américain, son héritage asiatique ... l'autrice ne cesse de le rappeler tout au long du livre. Sa mère est le cliché de la femme asiatique, petite, mince et soumise à son mari ...
Malgré les bons côtés que j'ai noté dans ma critique initiale, je retire des points à ma note parce que je ne peux pas cautionner autant de racisme dans un livre destiné au Young Adult voir aux adolescents où l'autrice blanche américaine "voulait" donner une voix à une minorité sans avoir les connaissances nécessaires pour le faire.
Critique initiale (...) :
Mon deuxième roman de Rainbow Rowell ! J'avais bien aimé Fangirl alors j'ai continué sur ma lancée avec Eleanor & Park.
Tout d'abord, j'ai apprécié le format des chapitres avec les points de vues qui alternent entre les deux protagonistes principaux qui donnent leurs noms au titre. Eleanor a une personnalité très complexe, j'ai eu un peu de mal à le comprendre au début, quel caractère ! Avec les jours qui défilent et les confidences qui vont de plus en plus loin, on commence à comprendre son mal-être et sa méfiance. Elle rencontre donc Park, un ado métisse coréen amateur de comics et de bonne musique (The Smiths, obviously) dans le bus scolaire qui l'amène dans son nouveau lycée. Leur rencontre et l'approfondissement de leur relation est traité de façon tellement douce et mignonne qu'on aimerait tellement qu'elle finisse bien ... le roman se conclu de façon un peu rapide, c'est assez frustrant mais il traite de sujets difficiles mais reste juste dans ses propos et les références musicales sont un plaisir à (re)découvrir.
Je profite de mon retour sur Babelio pour relire certaines de mes critiques et je dois dire que mon avis sur Eleanor & Park de Rainbow Rowell a beaucoup changé.
Peut-être avec des yeux plus matures, je me rends compte aujourd'hui à quel point ce livre est raciste et l'autrice n'a aucune idée de ce qu'elle écrit.
En Corée le pays d'origine de la mère du héro, Park est un nom de famille assez répandu, hors ici c'est le prénom du personnage principal (alors que son frère s'appelle Josh ?), première erreur et ce n'est pas la dernière ... Park, donc, déteste sa différence, son physique métisse coréen-américain, son héritage asiatique ... l'autrice ne cesse de le rappeler tout au long du livre. Sa mère est le cliché de la femme asiatique, petite, mince et soumise à son mari ...
Malgré les bons côtés que j'ai noté dans ma critique initiale, je retire des points à ma note parce que je ne peux pas cautionner autant de racisme dans un livre destiné au Young Adult voir aux adolescents où l'autrice blanche américaine "voulait" donner une voix à une minorité sans avoir les connaissances nécessaires pour le faire.
Critique initiale (...) :
Mon deuxième roman de Rainbow Rowell ! J'avais bien aimé Fangirl alors j'ai continué sur ma lancée avec Eleanor & Park.
Tout d'abord, j'ai apprécié le format des chapitres avec les points de vues qui alternent entre les deux protagonistes principaux qui donnent leurs noms au titre. Eleanor a une personnalité très complexe, j'ai eu un peu de mal à le comprendre au début, quel caractère ! Avec les jours qui défilent et les confidences qui vont de plus en plus loin, on commence à comprendre son mal-être et sa méfiance. Elle rencontre donc Park, un ado métisse coréen amateur de comics et de bonne musique (The Smiths, obviously) dans le bus scolaire qui l'amène dans son nouveau lycée. Leur rencontre et l'approfondissement de leur relation est traité de façon tellement douce et mignonne qu'on aimerait tellement qu'elle finisse bien ... le roman se conclu de façon un peu rapide, c'est assez frustrant mais il traite de sujets difficiles mais reste juste dans ses propos et les références musicales sont un plaisir à (re)découvrir.
