Citations sur Harry Potter, tome 3 : Harry Potter et le prisonnier .. (416)
- Mais le célèbre Harry Potter ne connaît que sa propre loi. Qu'on laisse donc le petit personnel s'inquiéter de sa sécurité. Le célèbre Harry Potter; lui, va où il veut, quand il veut, sans se soucier le moins du monde des conséquences.
Il semblait que c'en était fini de l'amitié entre Ron et Hermione. Chacun était si furieux contre l'autre que Harry ne voyait pas comment ils pourraient jamais se réconcilier.
Ron était furieux qu'Hermione n'ait jamais pris au sérieux les tentatives de Pattenrond de dévorer Croûtard.
Vous... vous voulez que je vous prépare une tasse de thé?
proposa Ron.
Harry le regarda, stupéfait.
-C'est toujours ce que fait ma mère quand quelqu'un ne se sent pas bien, marmonna Ron en haussant les épaules.
Quand on s'approche trop près d'un Détraqueur, toute sensation de plaisir, tout souvenir heureux disparaissent. Si on lui en donne le temps, le Détraqueur se nourrit des autres jusqu'à les réduire à quelque chose qui lui ressemble - des êtres maléfiques, dépourvus d'âme. Celui qui subit son pouvoir ne garde plus en mémoire que les pires moments de sa vie. Et les pires moments de votre vie, Harry, suffiraient à faire tomber n'importe qui de son balai. Il n'y a aucune honte à ça.
Tu crois donc que les morts que nous avons aimés nous quittent vraiment ? Tu crois que nous ne nous souvenons pas d'eux plus clairement que jamais lorsque nous sommes dans la détresse ? Ton père vit en toi, Harry, et il se montre davantage lorsque tu as besoin de lui.
L'expérience que tu as vécue avec le Retourneur de Temps ne t'a donc rien appris ? Les conséquences de nos actions sont toujours si complexes, si diverses, que prévoir l'avenir est une entreprise bien difficile...
Parfois, les gens sont un peu stupides avec leurs animaux, dit Hagrid avec sagesse.
Mais vous savez, on peut trouver le bonheur même dans les moments les plus sombres, il suffit juste de se souvenir d'allumer la lumière.
- Albus Dumbledore -
« - Ne sois pas triste, Harry, dit Hermione.
- Je pensais aux vacances, répondit Harry.
- Moi aussi, j’y ai pensé, dit Ron. Harry, il faut que tu viennes à la maison. J’arrangerai ça avec mes parents et je t’appellerai. Je sais comment me servir d’un fêlétone, maintenant.
- Un téléphone, Ron, rectifia Hermione. Tu devrais étudier les Moldus, l’année prochaine… »
« Une masse de cheveux sales et emmêlés lui tombait sur les épaules. Sans ses yeux qui brillaient au creux de ses orbites sombres et profondes, on aurait pu penser qu’il s’agissait d’un cadavre. Sa peau cireuse était tellement tendue sur les os de son visage qu’on croyait voir une tête de mort. Un rictus découvrait ses dents jaunes. C’était Sirius Black. »