Autant j'avais adoré
Les petites victoires autour de la relation père fils et de l'autisme, autant je suis restée hermétique à l'histoire de cette fratrie et de son quotidien dans les Etats Unis des années 70. Avec un père qui se centre sur une religion sectaire et une mère qui en devient de plus en plus violente, on pourrait croire que les deux frères présenteraient un front uni. Pourtant au fil de la lecture on se rend compte que des jeux de pouvoir ont aussi lieu entre eux. Je n'ai pas réussi à éprouver quelque empathie pour les personnages ce qui a rendu ma lecture peu intéressante. Dommage car j'aime beaucoup le trait de l'auteur.