La langue d'
Emmanuel Ruben est riche et foisonnante, mèlant habilement les 'immarcescible' et 'bagnole'.
Les chapitres sont longs : 50 pages environ, pourtant ce livre ne dure qu'une petite semaine. Mais ce qui est important n'est pas tant ce qui se passe que ce que cela éveille chez le narrateur...
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