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Critique de sabam
J'aime ces univers dans lesquels nous embarque J.-C. Rufin. le rythme, alternativement lent et accéléré, est un des aspects les plus agréables de son style. C'est toujours la même rengaine : partir de la moitié de l'ouvrage, impossible de décrocher, il faut aller au bout, et savourer l'enchainement de l'intrigue.
Dans "Katiba", le plaisir stylistique se double de celui des nombreux chemins qui se croisent finalement. Les multiples histoires qui, au début, peuvent nous perdre, se rejoignent avec brio pour constituer une perle de récit ! L'objet de l'histoire est également un facteur de satisfaction de ma grande curiosité du monde. Parler des katiba du Sahel, détailler leur fonctionnement, leurs stratégies, leurs acteurs, leurs liens avec l'Europe... Cela reste une fiction, bien sûr, mais les liens avec la réalité sont devenus tels que la lecture de ce roman est encore plus réjouissante.
Dans "Katiba", le plaisir stylistique se double de celui des nombreux chemins qui se croisent finalement. Les multiples histoires qui, au début, peuvent nous perdre, se rejoignent avec brio pour constituer une perle de récit ! L'objet de l'histoire est également un facteur de satisfaction de ma grande curiosité du monde. Parler des katiba du Sahel, détailler leur fonctionnement, leurs stratégies, leurs acteurs, leurs liens avec l'Europe... Cela reste une fiction, bien sûr, mais les liens avec la réalité sont devenus tels que la lecture de ce roman est encore plus réjouissante.
