Ce qui fait le charme de ce roman, mais aussi ses limites ? Sa légèreté.
On prend plaisir à sa lecture, on sourit, on trouve l'adjoint au Consul attachant et malin, tout en regrettant que les protagonistes manquent un peu de chair et d'épaisseur.
Comme dans le précédent (Le suspendu de Conakry), la description que fait
Jean-Christophe Rufin du personnel des ambassades françaises en Afrique n'est guère élogieuse...
A déguster au bord d'une piscine, un verre de Tokay détaxé à la main...
Un commentateur suggérait une petite série télévisée à partir des trois romans déjà écrits, pourquoi pas, ce serait une assez bonne idée, l'originalité et la personnalité d'Aurel Timescu feraient merveille.
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