>
Critique de bbpoussy
J'ai tellement entendu parler de ce roman par les VendredisLecteurs, qui ont les mêmes goûts que moi, que je ne pouvais pas faire autrement que de la rajouter à ma PAL.
En plus, ce titre me plaisait, avec en tête cette commode multi-colorée, comme disait mon enfant petit.
Olivia Ruiz nous conte une histoire et se livre également un peu. Marseillette, son café, l'Espagne, le sang qui pulse, le caractère fort des femmes qui portent les autres à bout de bras.💃
La commode aux tiroirs de couleurs est léguée par Abuela à sa petite fille. 🧓
Elle y découvre dedans, les souvenirs de toute une vie.
Abuela, Rita de son vrai prénom, a quitté son Espagne natale pour la France, avec ses soeur et sans ses parents restés pour lutter contre le régime de Franco.
Mais elle va se sentir rejetée par les Français qui ne la comprennent pas dans tous les sens du terme, jusqu'à sa rencontre avec Raphaël...
Olivia Ruiz nous fait vivre les bonheurs et les malheurs de cette Abuela que j'ai eu plaisir à suivre tout au long de ces pages.
Son écriture m'a fait penser à celle de Régine Deforges pour Léa et sa bicyclette bleue. 🚲
L'envie pour ses deux femmes de vivre chaque jour comme si c'était le dernier en croquant la vie comme une pomme et surtout en aimant plus que tous les membres de sa "famille" au sens large du terme.
J'ai trouvé très originale la fin choisie par Olivia Ruiz pour accompagner ce papi qui en aura vu de toutes les couleurs.
Ce roman est une belle surprise.
En plus, ce titre me plaisait, avec en tête cette commode multi-colorée, comme disait mon enfant petit.
Olivia Ruiz nous conte une histoire et se livre également un peu. Marseillette, son café, l'Espagne, le sang qui pulse, le caractère fort des femmes qui portent les autres à bout de bras.💃
La commode aux tiroirs de couleurs est léguée par Abuela à sa petite fille. 🧓
Elle y découvre dedans, les souvenirs de toute une vie.
Abuela, Rita de son vrai prénom, a quitté son Espagne natale pour la France, avec ses soeur et sans ses parents restés pour lutter contre le régime de Franco.
Mais elle va se sentir rejetée par les Français qui ne la comprennent pas dans tous les sens du terme, jusqu'à sa rencontre avec Raphaël...
Olivia Ruiz nous fait vivre les bonheurs et les malheurs de cette Abuela que j'ai eu plaisir à suivre tout au long de ces pages.
Son écriture m'a fait penser à celle de Régine Deforges pour Léa et sa bicyclette bleue. 🚲
L'envie pour ses deux femmes de vivre chaque jour comme si c'était le dernier en croquant la vie comme une pomme et surtout en aimant plus que tous les membres de sa "famille" au sens large du terme.
J'ai trouvé très originale la fin choisie par Olivia Ruiz pour accompagner ce papi qui en aura vu de toutes les couleurs.
Ce roman est une belle surprise.
