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Critique de BurjBabil
Bande dessinée située à l'Est, dans l'espace soviétique (je n'ose pas citer de pays, nouveaux ou anciens ou renommés de peur de heurter les sensibilités de ceux qui ne comprennent rien à l'histoire).
On navigue entre les pays Baltes, la Pologne, la Biélorussie et la Russie, au moment ou les alliés, via les russes blancs, ou directement plus tard, cherchaient à se débarrasser des soviets.
Deux intérêts divergents apparaissent : celui d'un scientifique prêt à tout (même le pire) pour faire avancer sa théorie des pouvoirs psys, celui des cadres du parti qui veulent les utiliser à des fins très politiques et militaires.
C'est donc un scénario assez simple, rendu doublement compliqué par :
a) La présence des X-women locales, télépathes clandestines et mieux encore...
b) Un va et vient incessant entre plusieurs périodes toutes situées entre les deux guerres du vingtième siècle.
c) Beaucoup de prénoms slaves difficiles à identifier facilement.
Les dessins sont beaux, bien qu'assez sombres. Comme diraient les fatals picards, "Les pays de l'Est c'est mieux l'hiver, on voit bien mieux les bâtiments, les nuances de gris ça flashe sur le blanc".
A suivre
On navigue entre les pays Baltes, la Pologne, la Biélorussie et la Russie, au moment ou les alliés, via les russes blancs, ou directement plus tard, cherchaient à se débarrasser des soviets.
Deux intérêts divergents apparaissent : celui d'un scientifique prêt à tout (même le pire) pour faire avancer sa théorie des pouvoirs psys, celui des cadres du parti qui veulent les utiliser à des fins très politiques et militaires.
C'est donc un scénario assez simple, rendu doublement compliqué par :
a) La présence des X-women locales, télépathes clandestines et mieux encore...
b) Un va et vient incessant entre plusieurs périodes toutes situées entre les deux guerres du vingtième siècle.
c) Beaucoup de prénoms slaves difficiles à identifier facilement.
Les dessins sont beaux, bien qu'assez sombres. Comme diraient les fatals picards, "Les pays de l'Est c'est mieux l'hiver, on voit bien mieux les bâtiments, les nuances de gris ça flashe sur le blanc".
A suivre
