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Critique de dreamworld
J'avais besoin d'un livre qui m'entraine dans son histoire et qui me donne envie de le lire rapidement. Je suis donc bien tombée avec The Curse.
Cela faisait longtemps que ce livre me faisait envie (avant même que sa sortie ne soit prévue en France), et je ne ressors pas déçue de cette lecture !
On suit les aventures de Kestrel, la fille d'un grand général de l'empire des Valoriens, une peuple de guerriers qui ont déjà envahi plus de la moitié du monde connu et réduit en esclavage les peuples conquis, comme les Herranis. Kestrel est le genre de personnage féminin que j'adore dans les romans, elle est forte et courageuse mais pas surhumaine, et surtout elle est très stratège. Elle adore jouer à des jeux mais surtout gagner. C'est comme cela qu'un jour, elle se retrouve au marché d'esclave et achète Arin, un Herrani.
J'ai beaucoup aimé ce roman et j'ai passé un agréable moment entouré de tous ces personnages. Comme je l'ai déjà dit, j'ai adoré Kestrel qui est le genre de fille très intelligent qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Ses relations avec les autres personnages la rende aussi humaine, comme la tristesse qu'elle ressent par rapport à sa mère... Elle ne semble pas à sa place dans ce monde car les mondanités et rumeurs ne l'intéresse que si elle peut s'en servir pour gagner, et veut plus que la destinée qui lui est reservée. Elle ne peut pas se contenter de se marier ou de rejoindre l'armée, les deux choix qui s'offrent à elle.
J'ai eu plus de mal avec Arin, mais, maintenant que le roman est fini, je vois qu'il a lui aussi une petite place dans mon coeur. Ce que j'ai préféré, c'est leur relation, à eux deux. Tous deux très stratèges, ils essayent sans cesse de lire dans le jeu de l'autre, de découvrir ses pensées, ses secrets, comprendre ce qu'il cache, et pouvoir gagner même lorsque la situation n'a plus rien d'un jeu. Leur relation m'a vraiment plu.
J'ai aussi apprécié les autres personnages, comme Jess, la meilleure amie de Kestel, le frère de Jess qui apprécie un peu trop Kestrel, ou encore le père de cette dernière, le grand général, qui semble un peu brute de pomme mais a quand même réussi à me toucher.
L'ambiance du roman est aussi super. Cet univers est propice à l'action et il y a des stratégie de guerre, des combats et des rebellions qui font qu'on ne s'ennuie jamais. La découverte des deux peuples, les Valoriens et les Herranis, réduits en esclavage, est interessante. Les petites allusion au dieu du mensonge ou à la malédiction du vainqueur sont des petits détails qui rendent l'histoire plus vivante. On est vraiment entrainé dedans et on veut savoir la suite de notre héroïne préférée et de son rebel de compagnon.
Enfin, l'écriture est vraiment splendide. le vocabulaire et les tournures de phrases utilisés démarquent vraiment ce roman d'autres à l'écriture trop simple qu'on a l'impression de retrouver partout. Cela reste pourtant fluide et les mots nous emportent dans l'histoire, dans cette univers que j'ai adoré sans trop vous dire pourquoi.
Du début à la fin, j'ai été happée dans The Curse et j'ai à présent vraiment hâte de lire la suite !
Cela faisait longtemps que ce livre me faisait envie (avant même que sa sortie ne soit prévue en France), et je ne ressors pas déçue de cette lecture !
On suit les aventures de Kestrel, la fille d'un grand général de l'empire des Valoriens, une peuple de guerriers qui ont déjà envahi plus de la moitié du monde connu et réduit en esclavage les peuples conquis, comme les Herranis. Kestrel est le genre de personnage féminin que j'adore dans les romans, elle est forte et courageuse mais pas surhumaine, et surtout elle est très stratège. Elle adore jouer à des jeux mais surtout gagner. C'est comme cela qu'un jour, elle se retrouve au marché d'esclave et achète Arin, un Herrani.
J'ai beaucoup aimé ce roman et j'ai passé un agréable moment entouré de tous ces personnages. Comme je l'ai déjà dit, j'ai adoré Kestrel qui est le genre de fille très intelligent qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Ses relations avec les autres personnages la rende aussi humaine, comme la tristesse qu'elle ressent par rapport à sa mère... Elle ne semble pas à sa place dans ce monde car les mondanités et rumeurs ne l'intéresse que si elle peut s'en servir pour gagner, et veut plus que la destinée qui lui est reservée. Elle ne peut pas se contenter de se marier ou de rejoindre l'armée, les deux choix qui s'offrent à elle.
J'ai eu plus de mal avec Arin, mais, maintenant que le roman est fini, je vois qu'il a lui aussi une petite place dans mon coeur. Ce que j'ai préféré, c'est leur relation, à eux deux. Tous deux très stratèges, ils essayent sans cesse de lire dans le jeu de l'autre, de découvrir ses pensées, ses secrets, comprendre ce qu'il cache, et pouvoir gagner même lorsque la situation n'a plus rien d'un jeu. Leur relation m'a vraiment plu.
J'ai aussi apprécié les autres personnages, comme Jess, la meilleure amie de Kestel, le frère de Jess qui apprécie un peu trop Kestrel, ou encore le père de cette dernière, le grand général, qui semble un peu brute de pomme mais a quand même réussi à me toucher.
L'ambiance du roman est aussi super. Cet univers est propice à l'action et il y a des stratégie de guerre, des combats et des rebellions qui font qu'on ne s'ennuie jamais. La découverte des deux peuples, les Valoriens et les Herranis, réduits en esclavage, est interessante. Les petites allusion au dieu du mensonge ou à la malédiction du vainqueur sont des petits détails qui rendent l'histoire plus vivante. On est vraiment entrainé dedans et on veut savoir la suite de notre héroïne préférée et de son rebel de compagnon.
Enfin, l'écriture est vraiment splendide. le vocabulaire et les tournures de phrases utilisés démarquent vraiment ce roman d'autres à l'écriture trop simple qu'on a l'impression de retrouver partout. Cela reste pourtant fluide et les mots nous emportent dans l'histoire, dans cette univers que j'ai adoré sans trop vous dire pourquoi.
Du début à la fin, j'ai été happée dans The Curse et j'ai à présent vraiment hâte de lire la suite !
