Une impression générale de redite par rapport à
l'ère de l'individu tyran, qui donne même parfois l'impression d'un étirement trop prononcé sur certaines pages, mais alors qu'on pense que chaque chapitre qu'on entame va finir par tourner à vide
par un quasi excès de verbiage Sadin fait jaillir d'exquises trouvailles de réflexion qui rehausse le tout. Ça pense, ça parle (parfois trop, mais toujours dans un plaisir de la ligne, merci à lui. Entre 3,5 et 4.
Commenter  J’apprécie         00