Catherine Safonoff durant cette « analyse » parle d'elle, de ce qu'elle ressent, de ses livres précédents qu'elle cite tout au long de ce récit, mais aussi de ses lectures –
Quignard, Kafka, Perec, Ernaux. En fait elle raconte sa vie. Au cours des 80 petits chapitres, elle décrit son mal de vivre, le vieillissement, son addiction à son médecin. le livre s'ouvre dans la dépression, mais au bout du compte c'est la vie qui gagne.
J'ai compris le titre après la lecture du livre lorsque j'ai appris que les mineurs, autrefois, prenaient un petit oiseau pour descendre au fond de la mine et ce volatile leur donnait l'alerte lors de fuite de gaz. Et
Catherine Safonoff nous décrit bien une descente au fond de la mine et grâce à son thérapeute elle remonte vivante à la surface. Y.R.
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