Ce n'est pas le
Sagan que j'ai préféré alors que le thème de la Seconde Guerre Mondiale qui avait été mis en lumière avec brio dans
Un sang d'aquarelle me semblait prometteur.
Cette période sert plus de support à la romance passionnée de trois personnes touchées par les horreurs du conflit et l'histoire apparaît alors comme une pause dans leur vie.
Totuefois,
Sagan souligne à merveille, par cette sorte de désinvolture amoureuse, le grand écart qu'il pouvait exister entre les résistants conscients des déportations et de la nécessité de la lutte et les français vivant en zone libre campagnarde loin de la réalité du conflit.
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