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Critique de Prux
Au départ, nous pensons que von Meck n'est qu'un artiste déconnecté de la réalité, arrogant et suffisant mais le récit nous entraine à la découverte de son personnage plus complexe et plus torturé.
Au milieu de la seconde Guerre Mondiale, alors qu'il réalise des films pour l'Allemagne nazie, il participe à la résistance sans même en être conscient en fournissant travail et faux papiers à des juifs et en cachant son amant.
Puis petit à petit, le déni dans lequel il était se fissure et lui laisse voir la réalité présente et passée telle quelle est. Une fois les oeillères retirées, la douleur est vive et la souffrance quasi insurmontable. Il doit agir !
A travers son roman, François Sagan nous présente les affres moraux d'un personnage qui s'isole des horreurs du monde qui l'entoure et qui se livre au plus grand sacrifice une fois sa prise de conscience effectuée.
C'est une belle mise en perspective de nos comportements face à des situations dramatiques que nous refusons de voir dans notre environnement favorisé.
Au milieu de la seconde Guerre Mondiale, alors qu'il réalise des films pour l'Allemagne nazie, il participe à la résistance sans même en être conscient en fournissant travail et faux papiers à des juifs et en cachant son amant.
Puis petit à petit, le déni dans lequel il était se fissure et lui laisse voir la réalité présente et passée telle quelle est. Une fois les oeillères retirées, la douleur est vive et la souffrance quasi insurmontable. Il doit agir !
A travers son roman, François Sagan nous présente les affres moraux d'un personnage qui s'isole des horreurs du monde qui l'entoure et qui se livre au plus grand sacrifice une fois sa prise de conscience effectuée.
C'est une belle mise en perspective de nos comportements face à des situations dramatiques que nous refusons de voir dans notre environnement favorisé.
