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Critique de merlin
Une bande de copains composé de Raymond, Eric, Didier, Joaquim, Bertrand et le narrateur lui-même, même si comme il est précisé en avant-propos : « Ce roman est une oeuvre de pure fiction » forment une bandes d'amis inséparables. Une bande nommé : « la Raya ».
Tous sont bien différents, chacun menait sa vie, chacun avait son caractère et surtout chacun avait sa propre philosophie sur les relations avec la gente féminine. Car tous, sauf Eric, était encore célibataire. Et un beau jour ils décident de marier leur copain Bertrand qui depuis quelques temps, il était attiré par Joséphine.
Oui mais voilà, Joséphine n'était pas seule. En effet, Victor était toujours avec elle et la suivait partout comme un petit chien. Et pour cause, Victor est son chien ! Un cocker au sale caractère qui grondait et attaquait des que l'on approchait de sa patronne.
Bertrand était un des seuls à pouvoir approcher Joséphine mais pas jusqu'au point de pouvoir l'embrasser. Non car selon Joséphine, le jour ou Victor ira se blottir sur les genoux d'un homme, c'est cet homme qu'elle épousera !
Donc vous vous en douter, pour remédier à ce problème, la bande d'amis va user de stratagèmes tous plus fous les uns que les autres pour arriver à marier ces deux là.
Je ne vous raconte pas tout en détails mais ce qui est sur c'est que l'on ne s'ennuie pas. Même si quelques passages paraissent un peu long, très vite l'humour reprend le dessus. Et comme dans le précédent roman, l'héritage de tata Lucie, les personnages y sont très attachants et on pourrait presque s'y reconnaitre ou y reconnaitre des amis/proches. Pourtant les héros ne sont pas de mon age, ou pas loin, mais certains passages m'ont fait retomber en adolescence ; l'époque des bals, des sorties…
Car finalement cette bande de quadras se refuse à vieillir et on a l'impression d'avoir à faire à de jeunes ados. Ou plutôt de « vieux ados »
Lien : http://www.unjourunevie.fr/i..
Tous sont bien différents, chacun menait sa vie, chacun avait son caractère et surtout chacun avait sa propre philosophie sur les relations avec la gente féminine. Car tous, sauf Eric, était encore célibataire. Et un beau jour ils décident de marier leur copain Bertrand qui depuis quelques temps, il était attiré par Joséphine.
Oui mais voilà, Joséphine n'était pas seule. En effet, Victor était toujours avec elle et la suivait partout comme un petit chien. Et pour cause, Victor est son chien ! Un cocker au sale caractère qui grondait et attaquait des que l'on approchait de sa patronne.
Bertrand était un des seuls à pouvoir approcher Joséphine mais pas jusqu'au point de pouvoir l'embrasser. Non car selon Joséphine, le jour ou Victor ira se blottir sur les genoux d'un homme, c'est cet homme qu'elle épousera !
Donc vous vous en douter, pour remédier à ce problème, la bande d'amis va user de stratagèmes tous plus fous les uns que les autres pour arriver à marier ces deux là.
Je ne vous raconte pas tout en détails mais ce qui est sur c'est que l'on ne s'ennuie pas. Même si quelques passages paraissent un peu long, très vite l'humour reprend le dessus. Et comme dans le précédent roman, l'héritage de tata Lucie, les personnages y sont très attachants et on pourrait presque s'y reconnaitre ou y reconnaitre des amis/proches. Pourtant les héros ne sont pas de mon age, ou pas loin, mais certains passages m'ont fait retomber en adolescence ; l'époque des bals, des sorties…
Car finalement cette bande de quadras se refuse à vieillir et on a l'impression d'avoir à faire à de jeunes ados. Ou plutôt de « vieux ados »
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