Comme me disait l’une de mes amies, particulièrement volage : Pourquoi manger au menu quand on peut se payer la carte ? ! Pourquoi, en effet ? Pourquoi se contenter d’une seule amante, d’un seul amant, alors que la vie passe si vite, qu’on a tendance à se perdre en route, de perdre nos désirs, nos rêves, nos ambitions, happés que nous sommes par la monotonie du quotidien et les exigences d’une société dénaturée ?
Attention peu choquer les plus sensibles
Demain j’irai payer mon loyer. Le propriétaire du petit trois pièces où je vis habite à 5mn de chez moi, dans un pavillon sans jardin. Me connaissant, vous pouvez facilement vous imaginer que je ne lui verse pas un centime. Je lui donne du plaisir, d’abord en lui faisant une longue fellation puis en le laissant me pénétrer. Il me prend chaque orifice, avant de me ligoter sur une chaise percée, les bras dans le dos. C’est une chaise ancienne, en chêne massif. Il n’y pas de seau en dessous, j’ai donc le cul et la chatte à l’air, et le peu de chair qui s’appuie sur le cercle est mortifié par les clous à pointe aplatie planté dans le bois.
Je commençais à avoir des crampes aux mollets. Mon visage était inondé de larmes, un sourire lubrique éclairait pourtant mon visage. Si j’étais crispée et avais l’impression de manquer d’air, je n’en étais pas moins étourdie de plaisir. Marie - Christine décida que j’en avais assez fait. Elle me relâcha et me dit d’aller m’assoir. - C’est à mon tour de te faire jouir avec mon pied ! m’annonça - t - elle aussitôt après, en plaçant le bout de son escarpin sur ma vulve.