Dans l'ombre de l'agitateur histrionesque, il y a toujours un informaticien. ( p 44 )
Désormais, ce sont les fake news qui ont remplacé les idées : ... ( p 52 )
L'explosion et l'influence des groupes extrémistes sur Facebook, par exemple, ne sont pas un accident ; elles sont le résultat de choix conscients. ... / ... Les discours de haine et la désinformation sont le carburant qui maximise les revenus de ces plateformes. Elles prospèrent sur la division. Plus le contenu est extrême, plus les utilisateurs le partagent. Les algorythmes amplifient le phénomène. ( p 216 )
Populistes, libéraux, nationalistes, souverainistes, fascistes… La palette idéologique de ses nouveaux leaders et si variés qu’on pourrait justement les définir par cela : l’impossibilité de les réduire à un substrat commun.
Roger Stone (USA) : "De plus en plus d’électeurs vont s’informer sur des médias alternatifs chaque jour plus vigoureux dont les exigences journalistiques sont supérieures à celle des grandes chaînes et des mastodonte du Câble".
(aux USA) Lorsqu’une élection présidentielle se termine, tous ceux qui ont travaillé sur la campagne du perdant sont dépeints comme des cancres, tandis que ceux qui ont travaillé avec le gagnant renaissent en tant que génies.
C’est avec le Brexit et la campagne de Trump que la “ Facebook politics » est devenue synonyme de manipulation à grande échelle , de fake News et de « micro-ciblage « des électeurs.