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Critique de Tatrolu


Dédicace de l'auteure : "A toutes les suffragettes qui ont péri droit dans leurs bottes".

Pour la première fois dans la circonspection du quartier de Westminster à Londres, deux femmes se présentent aux législatives : Lady Sybil Timpson et Delphina Siddons. Ni l'une ni l'autre des suffragettes.
L'héroïne, Iris Woodmore, journaliste au Walden Herald, couvre l'évènement (et avènement !) politique.
Cette couverture médiatique l'entraîne sur un terrain plus personnel : sa mère Violet est morte en défendant le droit de vote des femmes.
Sa mort est entachée de dangereux secrets.
Les investigations d'Iris l'amènent à découvrir la vérité provoquant simultanément de sombres révélations liées à cette disparition.

L'histoire se prête davantage à l'étude de moeurs qu'à l'enquête policière. Cette-dernière démarre véritablement au bout d'une centaine de pages (sur 384 pages !) et se démène laborieusement dans un imbroglios de ramifications aussi opaques que le smog londonien.

En recherchant l'étymologie du mot suffragette j'ai découvert que le mot est issu de la presse londonienne de l'époque pour se moquer des femmes. Il possédait une connotation péjorative, le suffixe "-ette" renvoyant à l'idée d'un objet de petite forme, une amusette quoi !
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