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Critique de leslecturesdemoe
Le coeur en vrac ♥️
▪️
C'est comme ça que j'ai fini ma lecture. Avec le coeur tout gros et tout mou. La gorge toute serrée. A retenir les larmes qui menaçaient de sortir depuis plusieurs pages. A ne pas me remettre de cette histoire, à la fois magnifique et dure.
▪️
Déjà on part sur un sujet fort : l'effondrement d'une portion du pont de Gênes. Ce drame qui a eu lieu il y a à peine 2 ans et demi. Alors forcément, ça touche.
Je me revois me balader dans les petites rues, étroites et sombres de la vieille ville (que j'adore - je trouve cette ville magnifique, ces hauts bâtiments qui semblent imbriqués comme des Legos, je suis fan!), et je ne peux m'empêcher de visualiser les événements, lorsque Tess décrit ce qu'elle voit, et ce qu'elle ressent. ▪️
En parallèle, le voyage continue à Sienne. Cette ville de Toscane que j'affectionne tant. J'ai l'impression de revivre un de mes derniers roadtrip, justement pendant le Palio, ce spectacle incroyable qui a lieu deux fois par an. On y découvre une relation entre un homme et une enfant. Une relation si touchante qu'on les croit père et fille. Ils n'ont pourtant aucun lien de parenté. Ce n'est pas le sang qui fait la famille. « La famille, c'est celle que l'on choisit ».
▪️
Ce livre prouve que l'amour n'a pas de limite. Il démontre jusqu'où on peut aller par amour. Comme les liens « familiaux » peuvent être puissants.
▪️
En terminant ce livre, je me suis dit une chose. Vraiment, ça ne loupe jamais. J'étais quasi sure d'avoir un beau (énorme!) coup de coeur parce que les histoires de Julien Sandrel ne laissent jamais indifférentes. Et je dois dire que celle-ci a vraiment quelque chose en plus. La fin m'a profondément touchée, c'est en quelques sortes du vécu. Ce livre a définitivement sa place dans mon coeur. ♥️
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C'est comme ça que j'ai fini ma lecture. Avec le coeur tout gros et tout mou. La gorge toute serrée. A retenir les larmes qui menaçaient de sortir depuis plusieurs pages. A ne pas me remettre de cette histoire, à la fois magnifique et dure.
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Déjà on part sur un sujet fort : l'effondrement d'une portion du pont de Gênes. Ce drame qui a eu lieu il y a à peine 2 ans et demi. Alors forcément, ça touche.
Je me revois me balader dans les petites rues, étroites et sombres de la vieille ville (que j'adore - je trouve cette ville magnifique, ces hauts bâtiments qui semblent imbriqués comme des Legos, je suis fan!), et je ne peux m'empêcher de visualiser les événements, lorsque Tess décrit ce qu'elle voit, et ce qu'elle ressent. ▪️
En parallèle, le voyage continue à Sienne. Cette ville de Toscane que j'affectionne tant. J'ai l'impression de revivre un de mes derniers roadtrip, justement pendant le Palio, ce spectacle incroyable qui a lieu deux fois par an. On y découvre une relation entre un homme et une enfant. Une relation si touchante qu'on les croit père et fille. Ils n'ont pourtant aucun lien de parenté. Ce n'est pas le sang qui fait la famille. « La famille, c'est celle que l'on choisit ».
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Ce livre prouve que l'amour n'a pas de limite. Il démontre jusqu'où on peut aller par amour. Comme les liens « familiaux » peuvent être puissants.
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En terminant ce livre, je me suis dit une chose. Vraiment, ça ne loupe jamais. J'étais quasi sure d'avoir un beau (énorme!) coup de coeur parce que les histoires de Julien Sandrel ne laissent jamais indifférentes. Et je dois dire que celle-ci a vraiment quelque chose en plus. La fin m'a profondément touchée, c'est en quelques sortes du vécu. Ce livre a définitivement sa place dans mon coeur. ♥️
