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Critique de florencem
Comme je pouvais m'en douter, ce dernier tome n'est pas aussi émotionnellement fort que le trente-six, cependant il finit très bien la saga même si j'avoue qu'un événement a été pour moi un peu de trop. A croire que le mangaka ne voulait pas laisser son lectorat dans une totale joie. Une fin bisounours n'était probablement pas son projet et je peux le comprendre, surtout que le choix de la fin est assez judicieux mais j'y reviendrai.
Fly se retrouve donc face à Ban, seul, et bien déterminé à exterminer le Dieu du Mal coûte que coûte. Il utilise pour cela sa dernière technique, à savoir celle de son père. Passer du stade d'humain à celui d'hybride. Fly a peur d'y perdre son humanité mais on le connait bien trop pour avoir les mêmes craintes que lui. Sa forme « saiyan » est d'ailleurs pas mal du tout. Il n'a rien d'un monstre, même si c'est ce qu'il croit. Et les quelques détails qui changent permettent de reconnaître notre héros tout en le transformant vraiment. Un bon équilibre.
Et on ne peut que jubiler quand il met une sacrée raclée à Ban. Nous avons tout de même attendu trente-sept tomes ! Bien entendu, le grand méchant a lui aussi un dernier tour dans sa manche. Pas très flair play, digne de Saboera, totalement… Et pour le coup, il perd beaucoup en charisme dans ce dernier acte pour sauver sa peau. Il est acculé et il sent la fin approcher. Mais pour quelqu'un qui se disait le plus puissant, le Dieu qui surpassait tous les êtres… C'est limite, limite. Bref, le combat dure presque durant tout le tome. Graphiquement, il est top et on a droit à des rebondissements plutôt intéressants et bien mis en scène.
La fin tant attendue finit par arrivée. La joie est immense. Et puis comme pour gâcher la fête, le mangaka fait revenir un des adversaires de nos héros. Comme je l'ai dit, je comprends le choix. Enfin, c'est un peu trop pour moi, dans le sens où c'est faire subir à nos héros encore quelque chose de plus. Vous voyez ce que je veux dire. En rajouter, pour en rajouter. Mais, il y a quelque chose qui découle de cet événement qui fait que la fin de la saga ressemble à Fly. Il y a beaucoup d'émotions, de mélancolie, mais même avec ce sentiment de trop en faire, je ne suis pas déçue par cette fin. Personnellement, j'aime à croire que les derniers mots de Leona sont prémonitoires. Et je n'ai pas trop de mal à imaginer le futur qu'elle entrevoit.
En conclusion, une saga fantastique qui reste un grand classique et qui reprend tous les critères du genre. Il y a bien entendu un côté un peu désuet, mais cela donne du charme à l'épopée. Je suis ravie d'avoir relu Fly, d'autant que je n'ai pas du tout perdu l'affection que j'avais pour ce shonen.
Fly se retrouve donc face à Ban, seul, et bien déterminé à exterminer le Dieu du Mal coûte que coûte. Il utilise pour cela sa dernière technique, à savoir celle de son père. Passer du stade d'humain à celui d'hybride. Fly a peur d'y perdre son humanité mais on le connait bien trop pour avoir les mêmes craintes que lui. Sa forme « saiyan » est d'ailleurs pas mal du tout. Il n'a rien d'un monstre, même si c'est ce qu'il croit. Et les quelques détails qui changent permettent de reconnaître notre héros tout en le transformant vraiment. Un bon équilibre.
Et on ne peut que jubiler quand il met une sacrée raclée à Ban. Nous avons tout de même attendu trente-sept tomes ! Bien entendu, le grand méchant a lui aussi un dernier tour dans sa manche. Pas très flair play, digne de Saboera, totalement… Et pour le coup, il perd beaucoup en charisme dans ce dernier acte pour sauver sa peau. Il est acculé et il sent la fin approcher. Mais pour quelqu'un qui se disait le plus puissant, le Dieu qui surpassait tous les êtres… C'est limite, limite. Bref, le combat dure presque durant tout le tome. Graphiquement, il est top et on a droit à des rebondissements plutôt intéressants et bien mis en scène.
La fin tant attendue finit par arrivée. La joie est immense. Et puis comme pour gâcher la fête, le mangaka fait revenir un des adversaires de nos héros. Comme je l'ai dit, je comprends le choix. Enfin, c'est un peu trop pour moi, dans le sens où c'est faire subir à nos héros encore quelque chose de plus. Vous voyez ce que je veux dire. En rajouter, pour en rajouter. Mais, il y a quelque chose qui découle de cet événement qui fait que la fin de la saga ressemble à Fly. Il y a beaucoup d'émotions, de mélancolie, mais même avec ce sentiment de trop en faire, je ne suis pas déçue par cette fin. Personnellement, j'aime à croire que les derniers mots de Leona sont prémonitoires. Et je n'ai pas trop de mal à imaginer le futur qu'elle entrevoit.
En conclusion, une saga fantastique qui reste un grand classique et qui reprend tous les critères du genre. Il y a bien entendu un côté un peu désuet, mais cela donne du charme à l'épopée. Je suis ravie d'avoir relu Fly, d'autant que je n'ai pas du tout perdu l'affection que j'avais pour ce shonen.
