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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Pas trop aimé les dialogues. Faillit le lâcher, dès le début, avec : "- Dans le cercueil de ma culotte, si tu veux tout savoir, mon con. Dieu ce que tu es pénible… "
Alternés d'un vocabulaire ampoulé. Un quadragénaire (je regrette de ne pas avoir compté le nombre de fois que ce mot est répété) a enterré sa mère il y a un an. Pas moyen de s'en remettre. Cela dure 268 pages. Des répétitions à souhait : le fait qu'il est journaliste, que son meilleur ami est ancien prêtre. de sa mère, on apprend pas grand-chose, puisque tout est basé sur ses sentiments à lui. Des inepties sur un agent immobilier et sur son patron. Points positifs : la musique et un parcours de tombes au Père Lachaise. Histoire qui se termine à l'eau de rose.
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Palma la mère et Augustin le fils s’aiment d’un amour infini, fusionnel, extraordinaire. Aussi lorsque Palma disparait, succombant à un cancer, Augustin perd sa mère, son guide, son équilibre, son repère, sa raison de vivre. Cela fait maintenant un an qu’Augustin pleure sa mère et qu’il se rend quotidiennement sur sa tombe, attendant d’elle le signe qu’elle lui a promis avant son décès.

« Le malheur sera ta chance » résume bien le personnage très intéressant de Palma, une femme solaire, spirituelle, exceptionnelle qui transmet un riche héritage moral et qui fait de l’optimisme une véritable philosophie de vie.
Augustin se questionne énormément devant la tombe de sa mère, où il ressent comme une présence. Où trouver le signe que Palma lui a promis et dont il a tellement besoin ?

Cela donne un texte de l’ordre de l’introspection dans lequel Augustin va parcourir un long chemin vers la renaissance, une quête pour retrouver l’équilibre sans la présence physique de l’être tant aimé mais avec l’héritage moral et spirituel que la défunte a transmis, guidée par la foi (très présente dans ce roman, on y revient souvent).

Dans la découverte de cet univers mélancolique que propose l’auteur, j’ai buté sur le style très travaillé, parfois lyrique, trop compliqué j’ai trouvé, et qui m’a, du coup, maintenue complètement à distance des émotions. Je n’ai rien ressenti en lisant ce roman qui traite pourtant de sujets qui touchent chacun et tout le monde : le deuil d’un personne aimée, la lente et difficile reconstruction.
C’est probablement un style auquel on adhère ou pas. Sans m’avoir complètement déplu, je suis restée insensible à cette lecture, voilà c’est tout. Mais loin de moi, l’idée de vous le déconseiller. Il y a quelque chose à attraper dans ce roman, la sensibilité de chacun le rendra possible ou pas.

Merci à Babelio et aux Éditions Belfond pour la découverte de ce roman.
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Il se rend tous les jours, depuis un an, sur la tombe de sa mère. Il dit qu'il a besoin de ce rendez-vous pour continuer à vivre sans elle.
C'est une histoire d'amour filial où les superlatifs abondent. Palma était une maman parfaite (est-ce possible ?), une femme extraordinaire, à la beauté impressionnante, une force de caractère ( les clichés abondent aussi), un modèle pour les amies de son fils (!). D'ailleurs, tous les amis d'Augustin sont aussi les amis de sa mère (et réciproquement), y compris son ex qui reste sa meilleure compagne. Lorsque le groupe se réunit pour le premier anniversaire, ils ne tarissent pas d'éloges sur tout : le repas, la défunte, et sur chacun d'entre eux. Vous voyez : dans ce roman tout le monde est beau et tout le monde s'aime .dans une harmonie factice
Le style, quoique suranné, est celui d'un bon élève qui choisit soigneusement un vocabulaire soutenu, les adjectifs accompagnent chaque substantif. Les verbes sont intéressant mais se répètent . Pour paraître contemporain, le texte se pimente de trivialité, surtout dans les dialogues qui sonnent faux.
Quel ennui !
Il ne se passe absolument rien dans ce récit, si ce n'est un voyage raté, et la rencontre improbable d'Augustin avec une jeune ( évidemment !) femme séduit par son deuil.
Pourquoi ai-je réussi à aller au bout de ce roman ? Parce que comme Augustin, j'aime me promener dans les cimetières, et parce que comme Palma, je suis une maman.
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