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Critique de fredbologsen
J'avais lu de Mikel Santiago, "La dernière nuit à Tremore beach", et la question que je m'étais posée dans ce polar, plutôt thriller d'ailleurs, était de savoir si le héros, victime, Peter Harper, compositeur, était fou, parano, ou alors s'il ne disposait pas de pouvoirs prémonitoires.
Dans ce "Le mauvais chemin", je ne me pose pas les mêmes questions, mais ...juste avant.
Le héros Bert Amandale, écrivain anglais venu s'installer en Provence, est-il le fruit d'une machination, ou alors, à cause d'un passé trop empli d'alccol et de came, à l'instar de son ami Chuks, lequel lui jure avoir percuté un homme en pleine nuit, mais dont il n'a pas retrouvé le cadavre, pas plus que la police à laquelle il est allé se confier quelques jours plus tard, est-il victime d'un dédoublement de la personnalité, d'hallucinations et autres?
D'indices en détails, Mikel Santiago ira nous faire douter jusqu'au bout, nous faisant pencher tantôt pour la première hypothèse, tantôt pour la seconde.
Par ailleurs, le docteur van Ern est-il le descendant du célèbre docteur "David", -ayant réalisé de nombreuses et inquiétantes expériences sur des êtres humains au Surinam- sorte de clone du triste Mengelé, venu s'installer en Provence également, et dirigeant une clinique où sont soignés, à prix fort, de nombreuses clébrités ayant justement plongé dans la drogue et l'alccol?
Les amis de van Ern font-ils partis de son "équipe", échappés du Surinam et venus vivre au même endroit que leur "gourou"?
Britney, fille de Bert et Miriam est-elle réellement en danger, dans la mesure où elle se met à fréquenter le rejeton de Mr et Mme van Ern?
Qui est vraiment honnête, qui ne l'est pas, qui joue double-jeu?
Dans un autre thriller qui n'est pas sans rappeler celui cité en tête de mon commentaire, Mikel Santiago arrive cependant à nous livrer une histoire "différente", sans aucune redondance avec la précédente.
4 étoiles car un récit prenant, une écriture fluide -et je pense que la traduction y est pour beaucoup-, des personnages bien campés, des rebondissements, et tout ce qu'il fait pour passer un très agréable moment de lecture.
Dans ce "Le mauvais chemin", je ne me pose pas les mêmes questions, mais ...juste avant.
Le héros Bert Amandale, écrivain anglais venu s'installer en Provence, est-il le fruit d'une machination, ou alors, à cause d'un passé trop empli d'alccol et de came, à l'instar de son ami Chuks, lequel lui jure avoir percuté un homme en pleine nuit, mais dont il n'a pas retrouvé le cadavre, pas plus que la police à laquelle il est allé se confier quelques jours plus tard, est-il victime d'un dédoublement de la personnalité, d'hallucinations et autres?
D'indices en détails, Mikel Santiago ira nous faire douter jusqu'au bout, nous faisant pencher tantôt pour la première hypothèse, tantôt pour la seconde.
Par ailleurs, le docteur van Ern est-il le descendant du célèbre docteur "David", -ayant réalisé de nombreuses et inquiétantes expériences sur des êtres humains au Surinam- sorte de clone du triste Mengelé, venu s'installer en Provence également, et dirigeant une clinique où sont soignés, à prix fort, de nombreuses clébrités ayant justement plongé dans la drogue et l'alccol?
Les amis de van Ern font-ils partis de son "équipe", échappés du Surinam et venus vivre au même endroit que leur "gourou"?
Britney, fille de Bert et Miriam est-elle réellement en danger, dans la mesure où elle se met à fréquenter le rejeton de Mr et Mme van Ern?
Qui est vraiment honnête, qui ne l'est pas, qui joue double-jeu?
Dans un autre thriller qui n'est pas sans rappeler celui cité en tête de mon commentaire, Mikel Santiago arrive cependant à nous livrer une histoire "différente", sans aucune redondance avec la précédente.
4 étoiles car un récit prenant, une écriture fluide -et je pense que la traduction y est pour beaucoup-, des personnages bien campés, des rebondissements, et tout ce qu'il fait pour passer un très agréable moment de lecture.
