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Critique de fnitter
Pourquoi pas ?
Il la kidnappe, la séquestre, la viole, lui promet de la libérer, il est directif mais tendre, elle tombe amoureuse. Il la relâche. Elle le retrouve.
En avertissement nous avons : Ceci est une oeuvre de fiction. Elle contient des scènes de viol et traite du syndrome de Stockholm dans le cadre d'une romance.
Donc vous êtes prévenus.
En fin de roman nous avons ceci :
L'auteure, parfois rude parfois tendre avec ses personnages, elle affectionne néanmoins les récits qui se terminent bien, saupoudrés de romance et pimentés d'érotisme.
Donc vous êtes prévenus.
Pour le reste. C'est une romance érotique moderne, comme tout ce qui se fait en ce moment. de l'amour et du sexe. le style est à l'érotisme, sans vulgarité. On parle sexe, verge, clitoris, bouton, mais jamais de bite de queue ou de foutre.
Le roman est suffisamment bien écrit et bien tourné pour qu'à aucun moment on n'éprouve du dégoût pour les actes ou même la personne du kidnappeur-violeur. Idem pour sa victime.
Vous saurez donc tout sur le syndrome de Stockholm et son opposé, le syndrome de Lima, moins connu, mais j'ai désormais élargi ma connaissance sur le sujet.
C'est intéressant jusqu'à la page 100. jusqu'à ce qu'il la relâche en fait. Ensuite, la romance et les explications prennent le pas et les scènes érotiques se font rares. Notre intérêt se dilue dans la mièvrerie d'un final convenu (on vous a prévenu on vous dit).
C'est l'occasion pour reparler d'une petite anecdote sur Brigitte Lahaie. Oui une femme peut jouir d'un viol, est-ce pour autant que c'est moins criminel ou moins violent ? Non. Mais ici, point de justice, si ce n'est à l'ancienne. Il l'a violée, il doit l'épouser. On est dans la dark erotica, pas dans Enquêtes criminelles et Faits Divers.
On vous a prévenu non ?
Il la kidnappe, la séquestre, la viole, lui promet de la libérer, il est directif mais tendre, elle tombe amoureuse. Il la relâche. Elle le retrouve.
En avertissement nous avons : Ceci est une oeuvre de fiction. Elle contient des scènes de viol et traite du syndrome de Stockholm dans le cadre d'une romance.
Donc vous êtes prévenus.
En fin de roman nous avons ceci :
L'auteure, parfois rude parfois tendre avec ses personnages, elle affectionne néanmoins les récits qui se terminent bien, saupoudrés de romance et pimentés d'érotisme.
Donc vous êtes prévenus.
Pour le reste. C'est une romance érotique moderne, comme tout ce qui se fait en ce moment. de l'amour et du sexe. le style est à l'érotisme, sans vulgarité. On parle sexe, verge, clitoris, bouton, mais jamais de bite de queue ou de foutre.
Le roman est suffisamment bien écrit et bien tourné pour qu'à aucun moment on n'éprouve du dégoût pour les actes ou même la personne du kidnappeur-violeur. Idem pour sa victime.
Vous saurez donc tout sur le syndrome de Stockholm et son opposé, le syndrome de Lima, moins connu, mais j'ai désormais élargi ma connaissance sur le sujet.
C'est intéressant jusqu'à la page 100. jusqu'à ce qu'il la relâche en fait. Ensuite, la romance et les explications prennent le pas et les scènes érotiques se font rares. Notre intérêt se dilue dans la mièvrerie d'un final convenu (on vous a prévenu on vous dit).
C'est l'occasion pour reparler d'une petite anecdote sur Brigitte Lahaie. Oui une femme peut jouir d'un viol, est-ce pour autant que c'est moins criminel ou moins violent ? Non. Mais ici, point de justice, si ce n'est à l'ancienne. Il l'a violée, il doit l'épouser. On est dans la dark erotica, pas dans Enquêtes criminelles et Faits Divers.
On vous a prévenu non ?
