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Critique de ClaireStories
Une jolie couverture bien girly et la désormais traditionnelle conjonction « ET » pour débuter les titres de ses romans, Virginie Sarah-Lou (que je remercie au passage pour ce service presse) nous livre ici un feel-good comme on les aime : drôle et touchant à la fois.
Clémence rêvait d'être magicienne pour le plaisir de voir des sourires sur les visages autour d'elle, mais la vie en a décidé autrement.
Depuis sa plus tendre enfance, elle veille sur une mère dépressive, avec qui les rôles se sont inversés. En manque de repères solides, elle tente désespérément de se construire. Car c'est une battante Clémence, voire une « célibattante », au grand désarroi de sa meilleure amie Adèle.
Tout au long de l'histoire, la jeune femme n'aura de cesse d'aider Brigitte (sa mère), suicidaire depuis plus de vingt ans.
Dans le même temps et à sa grande surprise, Clémence est recrutée par un patron philanthrope pour rétablir l'équité hommes-femmes dans son entreprise.
Mais ne sortez pas pour autant vos mouchoirs en ouvrant ce livre !
La dépression est un sujet grave, traité par l'auteure avec beaucoup de compassion et une note d'espoir toujours présente. L'égalité des sexes en fond de toile est abordée avec beaucoup d'humour et les personnages volontairement caricaturaux – mais juste ce qu'il faut – ne manqueront pas de vous faire sourire.
L'écriture est fluide et le style de Virginie Sarah-Lou apporte la fraîcheur dont ces thèmes manquent parfois.
J'ai beaucoup aimé la timeline en tête de chaque chapitre pour éviter de perdre le lecteur (et ça marche ! ), ainsi que les expressions déformées qui caractérisent Clémence et dédramatisent les événements avec originalité.
Lien : https://clairestoriesblog.wo..
Clémence rêvait d'être magicienne pour le plaisir de voir des sourires sur les visages autour d'elle, mais la vie en a décidé autrement.
Depuis sa plus tendre enfance, elle veille sur une mère dépressive, avec qui les rôles se sont inversés. En manque de repères solides, elle tente désespérément de se construire. Car c'est une battante Clémence, voire une « célibattante », au grand désarroi de sa meilleure amie Adèle.
Tout au long de l'histoire, la jeune femme n'aura de cesse d'aider Brigitte (sa mère), suicidaire depuis plus de vingt ans.
Dans le même temps et à sa grande surprise, Clémence est recrutée par un patron philanthrope pour rétablir l'équité hommes-femmes dans son entreprise.
Mais ne sortez pas pour autant vos mouchoirs en ouvrant ce livre !
La dépression est un sujet grave, traité par l'auteure avec beaucoup de compassion et une note d'espoir toujours présente. L'égalité des sexes en fond de toile est abordée avec beaucoup d'humour et les personnages volontairement caricaturaux – mais juste ce qu'il faut – ne manqueront pas de vous faire sourire.
L'écriture est fluide et le style de Virginie Sarah-Lou apporte la fraîcheur dont ces thèmes manquent parfois.
J'ai beaucoup aimé la timeline en tête de chaque chapitre pour éviter de perdre le lecteur (et ça marche ! ), ainsi que les expressions déformées qui caractérisent Clémence et dédramatisent les événements avec originalité.
Lien : https://clairestoriesblog.wo..
